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26 octobre 2013 6 26 /10 /octobre /2013 02:44

Pour les rebelles jihadistes de Syrie, il n'y a pas que des armes, mais aussi du sexe gratos. Comme chantait Jacques Brel, "Au suivant".

 

Le ministère tunisien de la Femme a prévu des campagnes de sensibilisation pour lutter contre "la multiplication" du nombre de Tunisiennes partant en Syrie pour y faire "le jihad du sexe" et se soumettre aux désirs des combattants islamistes.

"Le ministère va oeuvrer pour mettre en place un plan d'information, de sensibilisation et d'éducation adressé aux femmes et familles dans toutes les régions pour les aviser de la gravité de ces pratiques", a indiqué le ministère samedi dans un communiqué, indiquant par ailleurs qu'une "cellule de crise" existait déjà. 

Si le ministère a constaté une "multiplication du nombre de jeunes femmes partant pour le soi-disant jihad al-nikah" (guerre sainte du sexe en arabe), il n'a pas apporté de précision sur le nombre de cas constatés. Le jihad al-nikah, permettant des rapports sexuels hors mariage avec des partenaires multiples, est considéré par certains dignitaires salafistes comme une forme légitime de guerre sainte. Le ministère de la Femme "a l'intention de renforcer sa coopération avec les structures gouvernementales et non-gouvernementales qui s'occupent de cette question pour trouver des solutions appropriées afin de contrecarrer les plans de ceux qui encouragent ces pratiques", a-t-il poursuivi. 

Le ministre de l'Intérieur, Lotfi Ben Jeddou a soulevé ce sujet devant les députés cette semaine mais il n'a pas non plus apporté de précisions sur l'ampleur du phénomène. La presse évoque des centaines de cas de ce type, tout comme des centaines d'hommes sont partis combattre les troupes du président syrien Bachar al-Assad. 

Des Tunisiennes font le "jihad du sexe" en Syrie, affirme le ministre de l'Intérieur

Des Tunisiennes sont parties en Syrie pour faire "le jihad du sexe" et y assouvir les besoins sexuels des combattants islamistes, a indiqué jeudi le ministre de l'Intérieur Lotfi ben Jeddou lors d'une audition devant les députés. "Elles ont des relations sexuelles avec 20, 30, 100" jihadistes, a-t-il déclaré à la tribune de l'Assemblée nationale constituante (ANC), sans préciser si ces chiffres correspondaient à des actes quotidiens.

 

La descendance jihadistes est assurée

"Après ces rapports sexuels qu'elles ont au nom du jihad al-nikah ("la guerre sainte du sexe", ndlr), elles reviennent enceintes", a-t-il ajouté, sans dire non plus combien de Tunisiennes étaient rentrées de Syrie dans cet état et dans quelles conditions elles avaient été prises en charge.

Le jihad al-nikah, permettant des rapports sexuels hors mariage avec des partenaires multiples, est considéré par certains dignitaires salafistes comme une forme légitime de guerre sainte.

Le ministre n'a pas précisé le nombre de jeunes femmes qui sont ou ont été en Syrie à cette fin, alors que la presse évoque des centaines de cas de ce type tout comme des centaines d'hommes sont partis combattre les troupes du président syrien Bachar al-Assad.

M. Ben Jeddou a cependant estimé que depuis sa prise de fonction en mars, "6.000 de nos jeunes ont été empêchés d'aller là-bas".

Selon les médias tunisiens, des milliers de Tunisiens ont rejoint, via la Turquie ou Libye, les rangs de jihadistes ces quinze dernières années à travers le monde, en Afghanistan, en Irak et désormais en Syrie.

 

Le chef d'Ansar Ashariaa, principal mouvement jihadiste en Tunisie, Abou Iyadh est ainsi un vétéran de l'Afghanistan et co-dirigeait le groupe responsable de l'assassinat le 9 septembre 2001 du commandant Massoud, chef de la rébellion anti-talibans.

 

Source: Lalibre

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