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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 05:34

      Votre incertitude disparaît quand vous découvrez ces signes annonçant une heureuse issue à votre entretien d'embauche. Bon travail à vous !

Il est souvent difficile de cerner le recruteur assis en face de vous. A tel point que l’on peut sortir de l’entretien d’embauche perplexe. Pourtant, certains signes peuvent donner espoir. Découvrez lesquels.

1. Ils vous disent précisément quand ils vous recontacteront

Ce n’est pas un indice sans failles mais cette précision est tout de même très positive. Et surtout, elle vaut mieux que le « Nous vous tiendrons informé(e) ». Celui-ci peut en effet signifier que vous n’avez pas été assez bon pour que le recruteur annule ses éventuelles interviews suivantes, ou qu’il a déjà fait son choix.

2. Vous avez discuté de sujets qui ne figuraient pas dans le descriptif de fonction

Un bon entretien, c’est quand vous répondez aisément aux questions, quand vous parvenez à exposer vos compétences pour la fonction et quand ensuite vous commencez à discuter de tous les autres atouts que vous pouvez apporter à l’entreprise. C’est aussi en les surprenant sur des talents cachés que vous pouvez les convaincre.

3. L’interview a duré bien plus longtemps que prévu

Celui-ci coule de source. Si vous êtes entré et sorti en coup de vent du bureau, peu de chances que vous ayez eu le temps de les convaincre…

4. Vous avez évoqué des sujets personnels

C’est peut-être l’indice le plus probant. Au-delà de l’analyse des compétences, une interview est avant tout un examen de personnalité. Si vous commencez à parler de tout et de rien, à vous permettre des blagues (qui marchent) et que vous sentez que le recruteur est susceptible de vous apprécier personnellement, c’est bon signe !

5. Le recruteur parle des frustrations que l’employé précédent engendrait

S’il commence à décrire combien votre prédécesseur faisait mal son travail, c’est qu’il a sans doute conclu que vous pouviez faire bien mieux. Et s’il vous compare de façon positive aux employés précédents ou actuels, vous avez toutes les chances d’y croire.

6. Il vous a demandé…

  • Quelles sont vos attentes salariales ?
  • Etes-vous sûr que je peux contacter vos employeurs précédents comme références ?
  • Quand êtes-vous disponible pour commencer ?

7. Vous commencez à tirer des plans avec lui

Vous avez mis en scène les actions que vous pourriez effectuez une fois entré en fonction ? Alors vous avez non seulement réussi à vous vendre, mais vous avez également vendu un plan pour l'amélioration de l’entreprise.

(jt) 

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 15:21

épouvantail

Jamie Fox a 22 ans, est britannique et vient de terminer ses études. Son métier ? A priori le plus ennuyeux au monde : en tant qu’épouvantail professionnel, il doit tous les jours effrayer les oiseaux dans un champ en agitant les bras. Mais personnellement, il ne trouve pas son job si pénible ...

Jamie Fox, étudiant anglais fraichement diplômé de 22 ans, essaie d’exercer de son mieux, avec sa guitare hawaïenne, son livre de sketches et sa série de podcasts, ce qui est, à première vue, le job le plus ennuyeux au monde.

En tant qu’épouvantail vivant, il doit tous les jours effrayer les animaux sur un champ, entre autres en parcourant en long et en large les sillons creusés par les roues des tracteurs. A côté de cela, il passe la plupart de son temps en veste fluo pour éloigner les oiseaux, assis sur une chaise longue en plein champ. Il y joue de la guitare hawaïenne ou d’autres instruments.

“Bien mieux que de rester à la maison”BRAVO

Le jeune Britannique est loin d’être dépressif depuis le début de son ‘aventure’ dans son champ de colza au nord de Norfolk en Angleterre. Bien qu’il ne reçoive qu’un salaire minimum, il trouve son métier d’épouvantail pour oiseaux tout sauf désagréable.

« C’est bien mieux que de rester à la maison et de toucher une indemnité de chômage », raconte-t-il. « Lorsque je lis un livre ou joue d’un instrument, le temps passe vite et certains moments sont vraiment fantastiques. « Evidemment, le fait qu’il ne doive exercer ce job que pendant trois semaines l’aide à supporter un tel job.

ex Gentside

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28 septembre 2013 6 28 /09 /septembre /2013 07:16

Voici comment être aimé par vos collègues, qui vous le rendront bien ! Ceci vaut aussi bien pour les dames que pour les messieurs ! EXCLAMAAAAAATION ET INTERROGATION COMIQUES

1. Le bureau de votre collègue n’est pas le vôtre

Non, on ne se débarrasse pas de ses affaires sur le bureau du voisin. Et non, on ne pique pas sa chaise non plus sous prétexte que la sienne n’a pas l’air aussi bien, ou amusante.

2. On se calme

Un ton plus bas, c’est possible ? Une voix trop forte déconcentre les autres, alors êtes-vous vraiment obligé de crier au téléphone ou aux collègues qui sont juste à côté de vous ?

3. Réfléchissez avant de pousser sur le bouton Print

Cela prend un temps fou d’imprimer certains documents. Est-ce bien utile de bloquer l’imprimante et vos collègues au moment le plus chaud de la journée ? Cela peut sans doute attendre la pause de midi.

4. Vous n’êtes pas DJ

Alors pourquoi faire jouer votre musique et vos films pour tout le bureau ? Il y a des oreilles qui ont besoin de musique pour travailler et il y a les autres ...

5. Rayonnez d’énergie et de confiance

On n’a pas envie d’aborder celui qui donne tout le temps l’impression de porter le monde sur ses épaules. Pareil pour une personne passive et paresseuse. Dire bonjour le matin avec une mine radieuse peut faire beaucoup, même si on a l’humeur du lundi.

6. Soyez ponctuel

Surgir en réunion toujours trop tard peut être énervant pour les autres. De même que les retardataires ou ceux qui partent pile à l’heure le soir ou pire encore, avant l’heure, ne s’attireront que peu de sympathie.

7. Propre et net

Evitez de laisser traîner vos tasses de café sales partout. Ou pire encore : des bols à moitié vides. Des tonnes de papier sur votre bureau ne vous donnent pas bonne image non plus ...

8. Ne toussez pas comme un malade

Vous êtes un tousseur invétéré, alors c’est quasi garanti que vous tapez sur les nerfs des autres. Tousser ou renifler en permanence, cela irrite. Pendant vos grosses quintes de toux, songez à quitter de temps en temps le bureau.

9. Il était une fois ...

Racontez de temps en temps une blague, il n’y a pas mieux pour se rendre populaire que de faire rire ses collègues. Même dans les situations de la vie de tous les jours ou en réunion, les petites boutades font des miracles.

10. Entrez en contact

Sans tomber dans le flirt. Essayez d’entamer un contact personnel avec vos collègues. Et pas qu’avec ceux auprès de qui le courant passe.

11. Laissez votre pyjama à la maison

A la maison, libre à vous de déambuler en pyjama toute la sainte journée si cela vous tente ; mais au travail, cela fait un peu désordre. D’autres règles s’appliquent au bureau. On ne peut pas tout se permettre, alors montrez version pro de vous-même sans pourtant vous écarter à outrance de qui vous êtes.

ex Jobat

 

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 06:50

 Quels sont leurs revenus et leurs conditions de vie ? Tour d'horizon de ceux de demain .

       

 

En moyenne, un étudiant vit avec 618 euros par mois. Mais cette moyenne cache d'importantes disparités selon qu'il habite chez ses parents ou non. (SIPA)

En moyenne, un étudiant vit avec 618 euros par mois. Mais cette moyenne cache d'importantes disparités selon qu'il habite chez ses parents ou non. (SIPA)

 

784 euros. C’est le budget moyen d’un étudiant qui ne loge pas chez ses parents selon l'étude menée par BVA pour le compte de Sodexo. Un chiffre supérieur de 65% aux revenus dont dispose un allocataire du RSA. Ceux qui n’ont pas quitté le domicile familial se contentent d’une somme nettement plus restreinte (239 euros), preuve que le logement est la principale source de dépenses des jeunes qui poursuivent leurs études après le bac.

46% des étudiants ont recours à des jobs - pendant leurs vacances ou toute l’année. Et pour 60% de ces jeunes salariés, cette source de revenu est indispensable, dusse-t-elle sérieusement perturber leur travail scolaire. Est-ce par manque de moyens ou de temps ? Toujours est-il que, selon ce sondage, 1/3 des étudiants sautent au moins une fois par semaine le déjeuner et 22% le dîner.

7 heures et 20 minutes , c’est ce qu’ils dorment chaque nuit de la semaine. Leur journée type comprend 1 heure de transport, 6 heures et 20 minutes de cours, 3 heures et 25 minutes d’étude dont 45 minutes en groupe, 1 heure et 50 minutes à leurs loisirs divers et variés et 1 heure et 25 minutes à se nourrir. Le sondage ne dit pas combien de temps ils passent sur Facebook ou sur Twitter.

38%, c’est la proportion d’étudiants qui songent mettre un terme à leurs études ou, en tout cas, y ont déjà pensé. Les coups de blues sont, pour bon nombre d’entre eux, fréquents. 4 étudiants sur 10 ont été tristes ou déprimés au cours des 7 derniers jours, alors que 3 sur 10 se sont sentis seuls ou isolés.

45% des étudiants interrogés assurent avoir choisi l’université ou l’école où ils poursuivent leurs études après le bac en fonction d’un critère majeur : la proximité avec le lieu de domicile de leurs parents. La réputation de l’établissement n’a été le premier critère que pour 42% d’entre eux.

78% des étudiants se disent satisfaits de l'établissement où ils poursuivent leurs études et 45% sont prêts à adhérer à une association d’anciens élèves. Ce haut niveau de satisfaction conduit même près d’un étudiant sur deux à se dire prêt à faire une donation à l’école ou à l’université qu’ils fréquentent. Mais tiendront-ils leurs promesses ?

 

Cette étude de l'institut BVA a été menée pour le compte de Sodexo. Un échantillon représentatif de 3.040 étudiants a été interrogé par internet en janvier 2012.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 11:00

 

Responsable d’une centaine de videurs, Isabelle Grandville connaît les risques du métier et les préjugés dont il souffre

BRUXELLES Les fusillades qui ont endeuillé le monde de la nuit ces dernières semaines ont également marqué l’opinion publique. À Lille, deux morts et sept blessés, à Cambrai, dix blessés.

Depuis 2001, après avoir tenu une discothèque pendant plusieurs années, Isabelle Granville a lancé deux entreprises de gardiennage et de sécurité. Cette Bruxelloise de 50 ans est responsable de plus d’une centaine de portiers, videurs et sorteurs, surtout à Bruxelles, mais également à Anvers, Huizingen et Charleroi.

Le métier, elle le connaît sur le bout des doigts. Et regrette qu’il souffre d’une mauvaise réputation. “Les agents de sécurité sont très mal vus dans le secteur du gardiennage. On les voit comme des têtes brûlées . Mais bien sûr qu’il faut avoir une certaine force et un charisme pour contrer des jeunes qui boivent de plus en plus, des clients qui sont munis, au fil des années, de plus en plus d’armes.”

Un métier ingrat aussi car “quand la discothèque est vide, on reproche aux sorteurs d’avoir trop sélectionné” – un acte qui, elle le rappelle, est interdit, à part si le client refuse d’être fouillé, “mais les plaintes aboutissent rarement” .

Et si une bagarre survient, “on leur reproche de n’avoir pas assez bien filtré les clients !”

La directrice de l’entreprise Safe-T First regrette que “les palpations du corps, pour détecter d’éventuelles armes, l’un des seuls pouvoirs des videurs, ne soient pas ou très peu acceptées par les bourgmestres. Car oui, ces derniers doivent donner leur accord !”

Un accord qui ajoute à la tonne de paperasse à remplir pour un seul contrat, lors d’une seule soirée… “Que tout ait été règlementé, notamment par la loi Tobback, c’est très positif car il y avait de nombreuses dérives – travail au noir, surplus de violence, etc – dans les années 80 lorsque les patrons choisissaient eux-mêmes leurs gardes. Mais l’administratif que cela implique est bien trop lourd !”

À présent, les portiers, “bien plus polis et accueillants qu’auparavant”, doivent pouvoir présenter des attestations et la carte d’identification délivrée par le ministère de l’Intérieur.

Sans compter les formations complémentaires au métier de portier, qui peuvent coûter jusqu’à 1.350 €… Néanmoins, elle les estime nécessaires, tout comme certains atouts: “Une force physique, assurément, mais surtout une maîtrise de soi”.

Outre la surveillance aux portes lors de soirées et évènements, Isabelle Granville remarque que de plus en plus de commerces en redemandent, ainsi que les hôtels. “Ce n’était pas le cas auparavant. La semaine, mes portiers travaillent devant des bijouteries de luxe, des magasins de prêt-à-porter… C’est une autre forme de clientèle, qui craint énormément pour sa sécurité…”

Quid des risques du métier ? “C’est un métier très stressant. Mais on ne manque pas d’agents, loin de là. C’est juste qu’il faut répondre aux critères. La dangerosité dépend aussi du timing et du lieu…”

Ainsi, les soirées du nouvel an, “c’est l’enfer au centre de Bruxelles, trop de monde et trop de gens émêchés. Le 1er janvier dernier, alors que le service de mes portiers commençait à 21 h, j’en avais déjà un à l’hôpital à minuit !”

Toujours pendue à son téléphone, elle s’inquiète pour eux.

L’on a atteint le paroxysme de la violence le 12 juin 2010. Des portiers (dont Jeff, l’un de ceux employés par Isabelle) ont fait face à une rafale tirée par deux hommes armés de kalachnikovs.

Une nuit durant laquelle elle n’a pas pu fermer l’œil. Comme bien d’autres…



F. Sc.

© La Dernière Heure 2012    

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21 août 2013 3 21 /08 /août /2013 10:38

 

Vu la conjoncture économique, vous avez peu de chance d'obtenir une augmentation salariale. Tentez donc de décrocher d'autres formes de rémunération!

 

 

Vous pensez bénéficier de tous les avantages extra-légaux disponibles dans votre package salarial? Détrompez-vous! SD Worx en a recensé 82. Les plus connus et les plus répandus sont le GSM, la voiture de société, les chèques-repas, l’assurance hospitalisation, l’assurance de groupe, le PC portable, le travail à temps partiel, l’indemnité forfaitaire de frais, les abonnements de transports en commun, etc.

10 autres avantages

Cela ne fait jamais que 10 avantages extra-légaux. Il y a donc moyen d’en négocier des dizaines d’autres.


1. Cadeau de naissance: cet avantage "peut se présenter sous la forme d’une prime, d’un cadeau ou d’un chèque cadeau et son montant ne peut pas dépasser 50 euros, sinon il ne pourra pas être exonéré de cotisations de sécurité sociale et de précompe professionnel"

 , explique Lies Planckaert, Legal Expert pour Hdp-Arista.

 

2. Cadeaux et chèques-cadeaux: selon la CSC, "ces avantages ne sont pas considérés comme de la rémunération si leur montant total ne dépasse pas 35 euros par travailleur et par an et 35 euros par an et par enfant à charge de ce travailleur et s’ils sont distribués à l’occasion de la Saint-Nicolas, de Noël ou du Nouvel An".

 

3. Chèques-culture et chèques-sport: le montant total des chèques distribués ne peut pas dépasser 100 euros par an et par travailleur.

 

4. Cadeau de mariage ou de mise en ménage: dans ce cas-ci, la valeur du cadeau ou de la prime ne peut pas être supérieure à 200 euros.

 

5. Cadeau de pension: les entreprises peuvent donner à leurs jeunes pensionnés des cadeaux ou des chèques-cadeau d’une valeur de 35 euros par année de service avec un minimum de 105 euros et un maximum de 875 euros. Par contre, ce type d’avantage ne peut pas être distribué à des prépensionnés.

 

6. Distinction honorifique: le travailleur peut aussi recevoir des cadeaux ou des chèques-cadeaux pour une valeur totale de 105 euros par an à titre de distinction honorifique.

 

7 . Allocation familiales complémentaires: "

 

l’ONSS accepte l’octroi d’un montant maximal de 50 euros par mois et par enfant en tant que complément aux allocations familiales", note Lies Blanckaert. Attention, ce complément constitue un avantage de toute nature, il est donc quand même soumis au précompte professionnel.

 

8 . Réduction de prix ou remise à l’achat de produits ou services: les travailleurs peuvent acheter les biens et services produits par leur entreprise moyennant une réduction maximum de 30%. "Si la réduction obtenue dépasse 30% du prix normal (le prix que le travailleur aurait dû payer en tant que consommateur particulier), la partie de la remise ou de la réduction qui dépasse ces 30% est considérée comme une rémunération", prévient la CSC.

 

9. Prime d’ancienneté: la fidélité ça paye. Après 25 années de travail, votre employeur peut vous accorder une prime dont le montant s’élève au maximum à une fois le montant brut de votre salaire mensuel. Cette même prime peut également être versée après 35 ans de service. Dans ce cas, le montant s’élève à maximum deux fois le montant brut du salaire mensuel.

 

10. Une assurance frais ambulatoire: les frais de soins de santé sont en évolution constante chaque année. Et votre assurance hospitalisation ne couvre pas tous vos frais médicaux. Il pourrait donc être intéressant de négocier ce complément d'assurance avec votre employeur afin de bénéficier d’une couverture plus étendue. Vous pourrez ainsi obtenir un remboursement pour vos frais de consultations, pour les médicaments, l'achat de lentilles de contact ou de verres de lunettes, les soins infirmiers, la kinésithérapie, des prothèses, des soins de dentisterie, etc.

 

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 04:37

 facebook.JPG

 

Un salarié d'une agence d'assurance de Lannion (Côtes-d'Armor), vient d'apprendre à ses dépend qu'il était très risqué de critiquer son employeur, ou même ex-employeur sur Internet et plus particulièrement sur Facebook.

15 800 euros d'amendes

L'homme tentait de faire reconnaitre, par les Prud'hommes de Guingamp, le caractère "abusif" de son licenciement. Mais non seulement il s'est vu débouté de sa demande mais, fait rare, a aussi été condamné à payer 15.800 euros d'amendes pour "déloyauté" envers son employeur, rapporte Ouest-France .

À l'origine, le commercial avait été embauché le 23 septembre 2009 pour développer le portefeuille de clients de l'agents. Il a été licencié le 31 mars 2010 au motif qu'il "aurait saisi de faux rendez-vous auprès de clients et de prospects, dans son agenda et dans son compte rendu d'activité pour justifier des absences sur son lieu de travail", selon le journal régional.

L'homme avait alors saisi les Prud'hommes, estimant que son licenciement était dépourvu de "cause réelle et sérieuse".

Une vengeance sur Facebook fatale

Deux mois après son licenciement, désireux de se venger plus amplement de son ex-employeur, l'ancien commercial s'est créé un profil Facebook avec le pseudo "Tamertume", note Europe 1. 

Il y a ensuite publié plusieurs textes diffamants, a tenté de discréditer son ex-patron et l'image de l'agence d'assurance. Les dénigrements "ciblés et répétitifs" selon les juges, ont également été envoyé à la direction général du cabinet d'assurance, mais également à des concurrents et aux médias, selon Ouest-France.

"La toile n'est pas un lieu de règlement de comptes"

L'ancien chargé de clientèle a reconnu une partie des faits... Et s'est fait sévèrement punir.

"Il pensait sûrement passer à travers les mailles du filet puisqu'il avait utilisé des pseudos et qu'il en changeait régulièrement pour éviter qu'on ne le trouve. On a donc eu un travail de recherche et de preuve qui a été assez important. On a réussi à mettre en lumière la réalité de son comportement. Ça veut dire que la Toile n'est pas un lieu de règlement de comptes. Ça peut retomber sur le nez de celui qui l'utilise à mauvais escient", a déclaré Gaëlle Peneau, l'avocate de l'employeur, au micro d'Europe 1.



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15 août 2013 4 15 /08 /août /2013 11:08
Facebook a créé l'année passée 232 000 emplois indirects  dans l'Union Européenne,j en plus de ceux qu'il a offert dans ses propres services. C'est là un chiffre tout à fait inattendu, mais bien réel. Voyez plutôt.

L'activité du géant de l'internet Facebook a généré 232.000 emplois indirects en Europe au cours de l'année 2011, selon une étude du cabinet spécialisé Deloitte rendue publique mardi.
 
D'après ce rapport portant sur les 27 pays de l'Union européenne et la Suisse, "les acteurs de l'écosystème Facebook ont généré 15,3 milliards d'euros et créé 232.000 emplois en 2011".BRAVO-copie-1.JPG
 
Il s'agit quasi exclusivement d'emplois indirects - Facebook Europe comptant à ce jour quelque 600 salariés - dans des métiers comme éditeurs de logiciels, développeurs internet, agences média, professionnels du marketing et de la communication.
 
L'impact économique de Facebook se fait plus ressentir au Royaume-Uni (35.200 emplois indirects et 2,6 milliards générés), en Espagne (20.200 emplois et 1,4 milliard), en France (21.900 emplois et 1,9 milliard), en Italie (33.800 emplois et 2,5 mds) et en Allemagne (36.200 emplois et 2,6 mds), ces pays concentrant 73% de ces retombées.
 
Facebook revendique 800 millions d'utilisateurs dans le monde et se prépare sérieusement à entrer en Bourse.(belga)

 
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10 août 2013 6 10 /08 /août /2013 08:27
Vous les retrouverez avec plaisir... ou triste nostalgie, car vous y avez tellement cru !

Enfant, il est permis de rêver sans aucune limite, et d'imaginer son avenir comme on l'entend: "Quand je serais grand, je serais..."

On a tous voulu exercer certains métiers de rêve. Mais aujourd'hui, on en pense quoi de ces opportunités de carrière qui nous ont fait fantasmer?

Maîtresse d’école

Votre maîtresse était gentille, belle, super intelligente et elle avait le droit d’écrire tout le temps sur le grand tableau noir. C'était l'idole de la classe: tous les garçons en étaient amoureux et toutes les filles voulaient lui ressembler. De retour à la maison, vous rassembliez vos peluches pour leur donner un cours de géométrie en dessinant sur les murs.

Quelques années plus tard...
Devenir prof ? Ca ne va pas la tête ? Mal payés, mal considérés, les instituteurs ne font plus rêver personne. Les élèves sont incontrolâbles, les parents irrespectueux et les conditions de travail très moyennes. Même si enseigner est toujous le plus beau métier du monde, le prestige d'autrefois est bien loin...

Astronaute

Même si vous êtes né bien après la grande conquête spatiale, vous avez sans doute grandi avecNeil Armstrong (voire Dirk Frimout) comme héros. Explorer l’infini de l’espace, partir à la rencontre d’autres formes de vie… Devenir astronaute, c'est le rêve ultime des enfants ambitieux.

Quelques années plus tard...
Oui, vous auriez pu devenir astronaute. Si vous aviez fait de brillantes études scientifiques, si vous aviez réussi tous les tests physiques et psychologiques, si vous aviez eu la chance d'être sélectionné parmis la réserve de recrutement (il y a peu d'appelés, et encore moins d'élus) et si vous étiez prêt à boire votre urine recyclée. En fait non, vous n'auriez pas pu.

Princesse

Les journées semblaient être faites d’essayage de longues robes froufroutantes, de sourires au balcon et de choix de diadèmes. Il y avait un problème bien sûr, c'est que vous n'étiez pas née dans le bon milieu. Mais, bercée aux héroïnes de Disney, cela ne vous semblait à l'époque pas être un problème: il suffisait d'épouser un Prince Charmant, voilà tout.

Quelques années plus tard... 
Princesse, c’était une sacrée arnaque, tout compte fait. Jouer les potiches-en-chef névrosée et visiter des usines de boîtes en fer en serrant des mains sales toute la journée, très peu pour vous. Le coup de grâce du désenchantement? La tête du Prince Philippe.

Archéologue

Indiana Jones et Jurassic Park sont passés par là: enfant, vous rêviez de devenir archéologue. L'histoire vous fascinait, et une vie d'aventurier s'offrait à vous. Découvrir des reliques perdues, profaner des temples, retrouver le graal sacré... Vous ne risquiez pas de vous ennuyer!

Quelques années plus tard... 
Vous connaissez aujourd'hui la vérité: être archéologue, c’est faire de longues études et galérer pour être engagé avant de rester assis dans la poussière en nettoyant des pierres avec un pinceau. Les possibilités de course-poursuite en wagonnet dans une mine ou de découverte dedinosaures sont extrêmement faibles.

Chanteur

Une vocation de plus en plus en vogue chez les petites filles et les petits garçons des années 2000. Le monde des paillettes, des stars et du showbiz attire plus que jamais. Biberonnés à latéléréalité, bombardés de Matt Pokora et de Star Academy, le but suprême des enfants de la nouvelle génération est d’être connu, de se produire sur scène et de voir sa vie privée étalée dans les magazines people.

Quelques années plus tard... 
La vérité est peut-être sortie de la bouche de vos parents : "Tu chantes mal ma chérie. Très mal. Horriblement mal. Alors s’il te plait, arrête d'essayer de participer à The Voice et va finir tes études de droit."

Super-héros

Cela semblait à l’époque tellement facile. Il suffisait de se frotter à de la kryptonite et d'enfiler un slip par dessus des collants. Et hop! A vous l'envol au dessus des buildings! Secourir la veuve et l'orphelin, c'était vraiment un métier d'avenir.

Quelques années plus tard... 
Vous avez complètement déchanté : les super-héros, ça n’existe pas. De nos jours, tout ce que vous pouvez à la limite devenir, c'est WorkmanEt laissez-moi vous dire que c’est pas très glorieux.CLIN D OEIL-copie-1

ex Jobat

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30 juillet 2013 2 30 /07 /juillet /2013 05:27

      Cherchent candidats !

 LES MOINS APPRECIES:DECU

1.
Emballeur
3,1%
2.
Portier
3,4%
3.
Pêcheur
3,5%
4.
Nettoyeur
3,8%
5.
Travailleur à la chaîne
4,0%
6.
Caissier
4,5%
7.
Chauffeur de taxi
5,0%
8.
Ouvrier portuaire
5,6%
9.
Facteur
6,0%
10.
Aide de cuisine
6,1%
11.
Serveur
6,1%
12.
Télé-opérateur
6,2%
13.
Gardien de prison
6,7%
14.
Gérant de café
6,9%
15.
Matelot
6,9%
16.
Ouvrier de montage
7,1%
17.
Batelier
7,3%
18.
Ouvrier en travail posté
8,3%
19.
Conducteur de chariot élévateur
8,4%
20.
Employé de grande surface
8,5%

Le 'U.S. Bureau of Labor Statistics' a établi la liste des 10 jobs les plus dangereux.

 DANGER.JPG

  1. Pêcheur 
    • Salaire annuel : 31.594 euro
    • Nombre de décès : 200 sur 100.000
    • Le danger : Remonter les files ou les cages qui pèsent des tonnes, c’est déjà assez difficile, sans compter sur le vent fort, la pluie, le pont glissant et les vagues glacées qui frappent l’étrave.
  2. Elagueur 
    • Salaire annuel : 28.819 euro
    • Nombre de décès : 61,8 sur 100.000
    • Le danger : Les élagueurs travaillent à des hauteurs élevées et sur des terrains instables, avec des scies qui peuvent être dangereuses même on les utilise correctement. Et il y a bien sûr le risque des chutes d’arbres et de branches, et le travail dans des endroits isolés à l’écart de toute infrastructure de soins.
  3. Pilote d’avion 
    • Salaire annuel : 84.417 euro
    • Nombre de décès : 57,1 sur 100.000
    • Le danger : Les pilotes ont un des métiers les plus dangereux parce que leurs avions frôlent souvent le sol. Si quelque chose ne tourne pas rond, le risque est grand qu’il ne s’écrase.
  4. Agriculteur 
    • Salaire annuel: 21.792 euro
    • Nombre de décès : 38,5 sur 100.000
    • Le danger : Les agriculteurs courent le risque de se faire écraser par du matériel lourd ou par du bétail, ou encore de se faire piéger dans des silos. Souvent aussi ils s’exposent aux pesticides et autres matières toxiques.
  5. Couvreur 
    • Salaire annuel : 26.405 euro
    • Nombre de décès : 34,7 sur 100.000
    • Le danger : Le travail en hauteur, sur des surfaces glissantes ou des pentes raides et l’absence de protection expliquent les dangers du métier de couvreur. Ajoutons à cela le vent, le soleil et les risques de dessèchement et vous avez compris pourquoi tant d’accident connaissent une suite fatale.
  6. Aciériste 
    • Salaire annuel : 21.792 euro
    • Nombre de décès : 38,5 sur 100.000
    • Le danger : Que vous soyez prudent ou non, vous devez tout de ême marcher sur des poutres de 10 cm de large, grimper sur des échelles raides et éviter la chute de gravats à des hauteurs élevées ; les aciéristes ont un job très dangereux.
  7. Eboueur 
    • Salaire annuel : 25.732 euro
    • Nombre de décès : 25,2 sur 100.000
    • Le danger : Cela va en surprendre beaucoup mais le job d’éboueur est très dangereux parce qu’il doit souvent lever des choses très lourdes mais le risque vient surtout du fait qu’il doit se tenir debout, sans protection, derrière le camion poubelle. Il peut très bien tomber sous les roues de celui-ci.
  8. Ouvrier de maintenance industrielle 
    • Salaire annuel : 33.371 euro
    • Nombre de décès : 18,5 sur 100.000
    • Le danger : Des machines construites pour broyer, fondre, plier, évidemment qu’elles sont dangereuses pour ceux qui doivent les utiliser. Si quelque chose se passe, vous pouvez vous faire prendre par la machine, et il vous reste alors peu de chances de vous en sortir.
  9. Conducteur de camion 
    • Salaire annuel : 30.786 euro
    • Nombre de décès : 18,3 sur 100.000
    • Le danger : Se déplacer sur la voie publique comporte en soi dans dangers mais lorsque vous devez prendre la route à toutes les heures, vous risquez encore plus d’être victime d’un accident. De longues heures sur la route fatiguent, des vitesses élevées et des lourdes charges aggravent encore les dommages en cas d’accident.
  10. Ouvrier du bâtiment 
    • Salaire annuel : 47.502 euro
    • Nombre de décès : 18,3 sur 100.000
    • Le danger : Les ouvriers du bâtiment doivent aller au travail à des endroits difficiles parfois à atteindre : souterrains, ou en hauteur, ou sur des voies rapides ou sur des sites en construction. Et régulièrement, ils travaillent avec du matériel lourd et dangereux, explosifs, voltage élevé...
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