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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 11:18

Des friteries hollandaises servent de la mayonnaise au cannabis en accompagnement des frites, fallait le faire !

 

                Une belle assiette de frites.

Les quatre friteries de l'enseigne néerlandaise "Manneken Pis", situées à Amsterdam et à Utrecht, commercialiseront à partir de jeudi une mayonnaise au cannabis, a-t-on appris mardi auprès du propriétaire des établissements.

 

Comment l'idée lui est venue

"J'ai eu cette idée parce que je sens chaque jour les odeurs de cannabis qui émanent du coffee shop situé en face de notre friterie d'Amsterdam", a expliqué à l'AFP Albert van Beek, propriétaire et fondateur des friteries "Manneken Pis", du nom de la fontaine-statuette de petit garçon nu en train d'uriner devenue le symbole de la ville de Bruxelles.

 

Du cannabis sans effet 

Pourtant, pas question de ressentir les effets euphorisants traditionnellement recherchés par les fumeurs de joints: contrairement à celui vendu dans les coffee shops, le cannabis utilisé pour la sauce ne contient aucun THC, la substance responsable de ces effets.

 

Pour le goût uniquement

"C'est juste une histoire de goût, nous sommes spécialistes des sauces et nous voulons en permanence nous diversifier", a assuré M. Van Beek, selon lequel il sera clairement indiqué sur les menus que le cannabis utilisé pour la mayonnaise ne contient aucun THC.

 

C'est légal

L'utilisation d'un cannabis sans THC permet en outre de ne pas se trouver dans l'illégalité, soutient M. Van Beek, qui possède trois friteries à Utrecht et une à Amsterdam.

Bien que techniquement illégale, la possession, la consommation et la vente, dans les coffee shops, de moins de cinq grammes de cannabis par personne sont tolérées aux Pays-Bas depuis 1976.

 

ex Lavenir

 

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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 06:02
  1. Des restaurants français vraiment inattendus; si vous voulez faire une surprise à madame qui les adore, invitez-la !
  2. Dans la carlingue d’un avion
  3. Le Breguet 2 ponts, qui ne vole plus depuis 1968, a été « garé » à l’aérodrome de Chaubuisson à Fontenay-Trésigny (77) et transformé en restaurant. Pratique si on aime les avions mais qu’on a le mal de l’air.

    Source photo : ulmag

  4. Dans un wagon de tramway
    Vous aimez les transports en commun? D’habitude vous vous contentez d’y dormir, maintenant vous pourrez même y manger, grâce au Tram Bar, stationné entre Bellegarde et Chezery dans l’Ain. Il suffit de suivre les rails… à pied. (Aucun titre de transport n’est requis).

    Crédits photo : Le Tram Bar

  5. Dans les arbresRIRE
    Déconseillé en cas de vertige, cette (grande) cabane est située à 4 mètres du sol, à Aubagne (13), au château de Creissauds. Vous ne pouvez plus y manger (avec les doigts), mais vous pourrez y déguster de délicieux cocktails.

    Crédits photo : Dans les Arbres

  6. Dans un garage rétro
    Le restaurant O Bolides (Maine-et-Loire) accueille les amateurs-trices de belle mécanique, qui pourront manger au milieu des Jaguar, Triumph ou Mustang sans avoir à mettre les mains dans le cambouis. En voiture Simone…

    Crédits photo : O Bolides

  7. Dans une gare maritime transatlantique
    Le Quai des Mers à Cherbourg (50) est réservé à ceux qui ont le pied marin. Si vous aimez les chalutiers, les voiliers et même le sous-marin Le Redoutable, vous pourrez manger au rythme de la marée grâce à la vue sur le port et la rade. Pour les autres, vous pourrez observer les cuisines depuis la baie vitrée. Un bon moyen de vérifier que personne ne crache dans votre assiette. On monte à bord, moussaillons.

    Crédits photo : Le quai des mers

  8. Avec les doigts
    A Lille, au restaurant Au Bout des Doigts, on peut oublier tout ce que nos parents se sont donnés un mal fou à nous apprendre (« on ne joue pas avec la nourriture! », « on ne mange pas avec ses doigts », « la fourchette n’est pas un lance-purée », etc…) et tripoter de la bouffe, sans couteau ni assiette. Réserver ce restaurant.

    Source photo : mariee.fr

  9. Dans une école primaire
    Avec La Pause Récré (à Berric dans le Morbihan) vous allez retourner en CE2, et de votre plein gré en plus. Avec des tableaux noirs et des tables d’écoliers, ce restaurant va vous réconcilier avec la cantine. En revanche, vous ne pourrez pas organiser de tournois de billes.

    Crédits photo : La Pause Récré

  10. Sous terre
    Spécialisé dans les produits de la cave (les escargots et les champignons en particulier, pas le vieux vélo, les cartons jamais déballés et les décorations de Noël), le restaurant Les Pieds Bleus à Chenehutte (49) accueille les troglodytes aguerris ou les amateurs de sous-sol d’un soir dans d’anciennes galeries aménagées. Exite aussi à Issy Les Moulineaux aux Crayères.

    Crédits photo : Les Pieds Bleus

  11. Au Moyen-âge
    Le K9 (autrefois l’Auberge angevine… à Angers comme vous l’aurez deviné) propose un voyage dans le temps, et vous emmène à l’époque médiévale (mais sans la peste, les écrouelles et la Guerre de 100 ans) pour découvrir des plats d’époque dans l’ancienne Chapelle des Servantes du très Saint Sacrement d’Angers. Réserver le restaurant.

    Source photo : chateaux tourisme

  12. Dans un phare panoramique (tournant)
    Du haut de ses 60 mètres, la brasserie Le Phare de la Méditerranée à Palavas-les-Flots (34) vous propose de manger tout en admirant les différents paysages des environs. Pour le tour complet à 360°, il faudra compter 1h30, de quoi bien manger. Réserver ce restaurant.

    Crédits photo : brasserie du phare

Source : linternaute et truc de nana

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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 22:21

 

 herve-fromage.JPG

 

 

 

Un fromage unique en son genre
 La particularité du fromage de Herve repose sur sa technique de fabrication, sur le climat et la nature des herbages, mais surtout sur la présence d'une souche bactérienne unique (bacterium linens).

Le Fromage de Herve a du nez, du caractère, de la personnalité.  Dans la plupart des cas de forme cubique, ce fromage à pâte molle et à croûte lavée est obtenu à partir de lait de vache cru ou pasteurisé.  Sa texture est homogène, ferme, onctueuse, sa teneur en matière grasse est de 45% minimum.  Selon le temps d’affinage et le procédé de lavage, on obtient le doux et le piquant.

Son histoire 

Autrefois, il n’y avait primitivement que d’épaisses forêts.  La conversion des terres en prés se situe vers le milieu du XVIe siècle. Terres d’herbages, les habitants en sont venus au bétail. Pour valoriser leur production laitière, les agriculteurs devaient fabriquer un produit dont le temps de mûrissement était assez long afin d’en permettre le transport vers des régions de consommation parfois très éloignées.

Avant 1930, presque tous les fermiers du Pays de Herve préparaient du fromage de Herve.  Les producteurs actuels sont vraiment devenus de véritables artisans de la profession car il s’agit d’une préparation qui requiert beaucoup de main-d’œuvre familiale, de propreté et d’hygiène.

Sa fabrication 

La traite des vaches terminée, les cruches de lait sont déversées dans une cuve à paroi oblique où s’effectue le caillage du lait.

Une heure et demie après avoir ajouté la présure qui provoque le caillage, le caillé est découpé en quatre morceaux qui quinze minutes plus tard sont eux-mêmes coupés en petits morceaux de la taille d’une noisette.

Quand le caillé est suffisamment coagulé, on le verse entre des planches afin de mettre en forme le fromage. Les bandes de caillé ainsi formées sont légèrement pressées et retournées 4 à 5 fois par jour pendant deux jours.  Elles sont finalement découpées encubes de caillé qui sont remis en forme entre les planches.

Pendant la période d'affinage, chaque fromage sera lavé individuellement, à l'eau légèrement salée, deux à trois fois par semaine. Il se forme ainsi une belle croûte rosée, la morge. Elle est le produit de la bactérie spécifique du fromage de Herve : bactérium linens.

Selon le temps d'affinage et différents procédés de lavage, on obtiendra différentes qualités : le doux, le demi-doux, le piquant, ... Il ne reste plus qu'à emballer les fromages et à les envoyer dans le circuit de distribution…

Le fromage de Herve se déguste simplement avec une tartine beurrée ou, garnie de sirop de pommes et de poires, une autre spécialité du plateau et une bonne tasse de café.

 

 

Son AOP

Il existe dans toute l'Europe, une grande richesse de produits alimentaires. Quand ils acquièrent une réputation qui dépasse nos frontières, ces produits peuvent se trouver confrontés sur le marché à des imitations qui usurpent leur nom. Cette concurrence déloyale trompe le consommateur et pénalise les producteurs.  C'est pourquoi la Communauté Européenne a créé, en 1992, un système de protection et de valorisation des produits agro-alimentaires dont fait partie l'Appellation d'Origine Protégée (AOP).

"L'appellation d'Origine Protégée désigne la dénomination d'un produit dont la production, la transformation et l'élaboration, doivent avoir lieu dans une aire géographique déterminée avec un savoir-faire reconnu et constaté".

Le fromage de Herve s'est vu attribuer l'AOP en 1996.

Ses producteurs et son association

L’association « Fromage de Herve » se compose d'artisans et d'entreprises animés par la même passion : fabriquer et diffuser des produits de tradition de haute qualité en respectant les secrets de fabrication d'autrefois. Si les impératifs de production répondent aux normes les plus strictes (matières premières contrôlées, matériel ultra-moderne, sécurité, hygiène, transport...), la saveur originale doit rester intacte.

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5 octobre 2013 6 05 /10 /octobre /2013 09:17

Qui disait que la France était la pays roi de la gastronomie ? On pourrait en douter en lisant ceci... sans couverts ni assiette et pour seul accessoire utile une très fine serviette en papier... pour le fromage qui dégouline EXCLAMAAAAAATION ET INTERROGATION COMIQUES-copie-5

Portée initialement par les fast-foods, la consommation de burgers en France s'est développée dans la restauration à table. Crédit photo: François BOUCHON / Le Figaro.
Portée initialement par les fast-foods, la consommation de burgers en France s'est développée dans la restauration à table. Crédit photo: François BOUCHON / Le Figaro.

La consommation de ce type de sandwich a explosé de 17% dans les restaurants en France l'année dernière, selon le cabinet NPD Group. Les Français sont les seconds plus gros consommateurs d'Europe.

Devenus champions d'Europe de la consommation de pizzas en 2010 puis de sushis en 2011, les Français ont également cédé à la «burger mania».

Au restaurant, ils avalent aujourd'hui 14 burgers par an et par habitant, ce qui les classe au deuxième rang des plus gros adeptes de ces sandwichs en Europe, derrière le Royaume-Uni (17 unités) et devant l'Allemagne (12), l'Espagne (9) et l'Italie (5), relève une étude du cabinet NPD Group qui sera publiée mardi.

La consommation de burgers a ainsi explosé de 17% en France l'année dernière. «Le burger a quitté le périmètre de la restauration rapide pour s'installer à la carte des brasseries et restaurants à table», explique Christine Tartanson, directrice de la division Food Service chez NPD Group. Un mouvement initié par les grands chefs étoilés qui ont décliné leurs propres recettes, faisant du burger «un produit plus haut de gamme». Résultat: le traditionnel steak n'a plus la cote. Les Français commandent, en effet, trois fois plus souvent un burger que tout autre plat à base de bœuf.

 

 

Outre l'effet «mode», la crise explique aussi ce succès. Selon Christine Tartanson, «le burger est souvent proposé dans les restaurants à un prix plus attractif que les autres plats».

 

Dans un contexte où les Français continuent de contrôler leurs dépenses, ce produit représente donc «une alternative de très bon rapport qualité-prix tout en étant l'équivalent d'un véritable plat chaud». Autre avantage pour les restaurateurs: le burger est un «plat consensuel» qui permet de cibler une clientèle très large. NPD Group souligne, par exemple, qu'un consommateur de burger sur deux est une femme. De même, le burger séduit indifféremment les jeunes, les familles ou les actifs, qu'ils soient de Paris ou de province. Enfin, il est aujourd'hui aussi bien consommé en pause-déjeuner qu'au dîner. Une tendance qui pourrait permettre à la France de dépasser un jour le Royaume-Uni. «Jusqu'à présent, les Anglais consommaient beaucoup plus de burgers au déjeuner, mais cette mode se développe fortement en France», souligne la spécialiste.

Nutrition et santé en embuscade INTERROGATION2-copie-4

Cette ascension du burger dans l'Hexagone se poursuit alors qu'aux États-Unis, berceau de ce sandwich importé outre-Atlantique au XVIIIe siècle par des marins allemands originaires de Hambourg, la lutte contre l'obésité pourrait à terme jeter un froid sur sa consommation.

 

Suivant les traces de la première dame, Michelle Obama, les géants de l'agroalimentaire s'engagent peu à peu à promouvoir une nutrition plus saine. Le mois dernier, Walt Disney a ainsi décidé de supprimer la publicité pour les produits dits de «junk food» de tous ses programmes pour enfants diffusés sur les chaînes de son réseau de télévision ABC et sur le câble, ainsi que sur Internet et à la radio. Et la nutrition est l'un des quatre «engagements» mis en avant par McDonald's. Pour autant, Christine Tartanson relativise la portée de cette croisade anti-malbouffe en France. «Contrairement aux Américains, les Français consomment plus souvent des burgers au restaurant, lors d'une “sortie plaisir”.» Une sortie qu'ils ne gâcheront sans doute pas pour des soucis de diététique.

 

ex Le Figaro

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21 septembre 2013 6 21 /09 /septembre /2013 16:06

Que l'on soit fast-food ou pas, faut voir...

 

Une question posée sur le site Reddit hier a déclenché de folles passions. Les employés de fast food étaient invités à répondre à la question suivante:

"Quelle est l'option d'un menu que vous servez habituellement dans votre job que vous ne recommandez à personne pour des questions de cuisson, de propreté, etc.?"

6000 commentaires ont été postés en 24 heures.

Sachez ainsi qu'il s'agit d'éviter les nuggets de poulet.

Le commentaire de Dfunkatron fait froid dans le dos et peur à l'estomac: "Quand je travaillais au McDo, j'ai laissé par mégarde un sac entier de 100 nuggets de poulets sur un grill pendant trop longtemps. Ils ont fondu. Ils se sont transformés en un bassin de liquide. Je n'ai jamais compris pourquoi." 


Les employés de fast food sont d'accord pour dire qu'il faut se méfier de la nourriture dite "végétarienne": les couteaux et autres spatules sont utilisés pour cuire les burgers avec de la viande comme ceux qui sont dits végétariens.

Le poulet grillé du McDo est aussi pointé du doigt. Un ex-employé raconte que pour le faire dégivrer, il faisait tremper le poulet dans l'eau chaude pendant des heures.

 

>>> voyez aussi notre article "On nous fait manger n'importe quoi"

Bon appétit! !!! 

ex 7sur 7 Déborah Laurent

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 15:33
<P>Fabien Henrard ouvre un resto au concept original : ce sont les clients qui prennent les commandes et font le service.</P>

 

Fabien Henrard ouvre un resto au concept original : ce sont les clients qui prennent les commandes et font le service.

 

 
  

LIÈGE - « Mandibule en roue libre », c’est le nom du restaurant qui ouvre ses portes ce mercredi dans la rue Souverain-Pont, à Liège. Le patron, Fabien Henrard, propose à ses clients de passer leur musique, de prendre les commandes, de servir les boissons et les plats, etc.

En voilà une idée originale, pour un restaurant. Fabien Henrard, qui fut autrefois le patron de l’institution « Ô Mal Aimé » à Stavelot, ouvre ce 30 mai un nouvel établissement dans la rue Souverain-Pont. L’un des principes du « Mandibule en roue libre » : inviter les clients à apporter leur contribution. « Mais attention, ce n’est pas un self-service », prévient d’emblée le patron.

Le patron est le seul membre du personnel à bord

Fabien Henrard, la majorité du temps, sera le seul membre du personnel à bord, derrière les fourneaux. Après, ce sera aux clients de s’assurer que les plats seront servis. « Mandibule, c’est un oiseau imaginaire. Sur chaque table se trouve un œil de Mandibule », explique ce Stavelotain d’origine, Liégeois d’adoption. Une fois attablés, les clients font tourner l’œil tel une toupie et la personne vers laquelle celui-ci s’orientera sera désignée pour faire le service.

« Je ne vais tout de même pas leur demander de faire la vaisselle… »

L’idée consiste à faire participer les gens et instaurer un climat convivial. « Et le fait qu’ils soient invités à contribuer au service se ressent dans la note », glisse le patron. « Le bar est à l’envers, par exemple. Il est tourné vers la salle pour que les gens puissent servir les boissons. Les clients prennent les commandes et viennent me les apporter en cuisine. Dès que c’est prêt, je les préviens et ils peuvent venir prendre les plats. Après, je ne vais tout de même pas leur demander de faire la vaisselle. Quoique, on pourrait organiser des formes de réductions en contrepartie d’un peu de plonge », plaisante Fabien Henrard.

Chacun peut apporter ses vinyles

« J’aime l’idée que les clients participent à l’activité du restaurant » ; commente encore Fabien Henrard. « Personnellement, je considère qu’il n’est pas nécessaire de s’installer et de se faire servir du début à la fin ».

Du point de vue de la musique, il respecte le même principe. « Le concept du resto se base aussi sur la musique. J’avais envie d’un endroit où passer la musique que j’aime, à savoir tout ce qui est pop, dans le bon sens du terme. Mais les clients peuvent venir avec leurs vinyles et les mettre sur le tourne-disque s’ils le souhaitent. » De quoi accentuer un peu plus le sentiment de partage dans la petite salle de la rue Souverain-Pont.

En cuisine et dans le bar, place à l’artisanat

« Un verre de limonade ? Elle est faite maison », propose immédiatement Fabien Henrard. La suggestion correspond assez bien à l’esprit du Mandibule en roue libre, à vrai dire. « Je considère que je fais de l’artisanat, en servant des produits issus de cultures respectueuses. On pourrait dire bio, mais je pourrais très bien aller chez un bon producteur, même s’il ne porte pas l’appellation ». Produits de saison, boissons artisanales, saveurs locales : Fabien Henrard se situe résolument aux antipodes du marché de la malbouffe.

La carte, elle, demeure hebdomadaire. « Elle est assez restreinte, mais change chaque lundi », explique Fabien Henrard, qui permettra dès lors à la clientèle de varier les plaisirs. Par ailleurs, l’homme « n’aime pas l’idée de gaspillage. Comme je le faisais Ô Mal Aimé avant, je proposerai un menu surprise le vendredi ». Avec les restes ? « Si vous voulez, mais des restes nobles », répond-il. « Comme le menu change chaque semaine, ça ne pose pas de problème et, en fonction de ce que j’ai dans ma cuisine, je peux régaler un peu les clients. »

Le restaurant « Mandibule en roue libre » est ouvert du lundi au vendredi de 12 à 15 h, de même que le vendredi soir, dès 19 h.

 

ex Lavenir.net

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 15:31

On y mange de bon appétit, mais si son savait... Voyez plutôt...

 

Les endroits sales d'un restaurant/DR

Des journalistes américains ont enquêté dans plusieurs établissements pour savoir quels étaient les endroits les plus sales dans un restaurant. La première place du classement est une petite surprise.EXCLAMAAAAAATION ET INTERROGATION COMIQUES-copie-1

Une récente enquête dévoilée lors de l'émission 20/20 sur la chaîne ABC News, aux États-Unis, nous dévoile les 10 endroits les plus sales dans un restaurant.

Car si les contrôles d'hygiène constituent un bon élément de réponse, cela ne suffit pas à s'assurer à 100% que le restaurant où vous mangez est totalement propre.

La journaliste Elisabeth Leamy a donc mené l'enquête en inspectant l'intérieur de dix restaurants. Ayant pour seul outil, un coton-tige, elle a récolté des échantillons sur plusieurs surfaces. Ces échantillons ont ensuite été envoyé au microbiologiste de l'Université de New York, le docteur Philip Tierno, qui les a analysé. Il a ensuite comparé le nombre de germes présents.

 
Les résultats de cette investigation sont plutôt surprenants puisqu'il semblerait que l'endroit le plus sale d'un restaurant soit... les chaises. Comme le note Elisabeth Leamy, cela peut s'expliquer notamment par le fait que les restaurants ne pensent pas forcément à désinfecter les sièges comme ils le font pour la cuvette des toilettes par exemple. 

 
Voici le top 10 :

- les chaises : 70% des chaises analysées étaient contaminées de bactéries comme l'E.coli.

- la carte des menus : gare aux staphylocoques retrouvés par la journaliste.

- les quarts de citron : sur la moitié des citrons analysés, des matières fécales ont été retrouvées.

- les salières et les poivrières : Il faut dire qu'elles passent de main en main.

- les tables: passer une éponge sale ne suffirait pas.

- les verres : beaucoup de bactéries ont été décelées, dont une liée à la tuberculose.

- les poignées de la porte des toilettes : on vous laisse deviner pourquoi.

- les robinets des toilettes: c'est bien pour cela que des établissements s'équipent aujourd'hui avec des robinets automatiques.

- les bouteilles de ketchup.

- les pinces dans les buffets.

L'étude porte sur des restaurants américains mais nul doute que l'analyse effectuée pourrait être transposée en France sans que les résultats ne soient révolutionnés.

Des résultats qui font froid dans le dos et pourtant les restaurants sont dans l'ensemble des lieux que l'on considère plutôt propres. Les experts s'accordent à dire que les endroits les plus infestés de germes sont les stations-service et en particulier les pompes à essence.

ex Gentside

 

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 15:31

 

Chaque année ce classement apporte des surprises... et des regrets. Bon appétit !

 

Le chef du "Noma" René Redzepi© reuters.

Le restaurant danois "Noma", du jeune chef René Redzepi, a été désigné lundi pour la troisième année consécutive meilleure table de la planète parmi les 50 meilleurs restaurants mondiaux distingués dans la revue britannique Restaurant.

René Redzepi lors de son premier titre en 2010© epa.© epa.Heston Blumenthal et René Redzepi © epa.

L'Espagne place deux restaurants dans les cinq premiers, "El Celler de Can Roca" (Gérone) et "Mugaritz" (Saint-Sébastien), et un troisième (Arzak, 8e) dans le "top ten". Sa chef Elena Arzak, fille de Juan Mari Arzak, a été récompensée du prix Veuve Clicquot de la Meilleure femme chef du monde.

Le Brésil et l'Italie distingués
Le classement accorde la quatrième place à un restaurant brésilien, D.O.M de Sao Paolo, et à la cinquième à un italien, Osteria Francescana, de Modène. D.O.M (dont le chef est Alex Atala), qui avait déjà gagné 11 places l'an dernier à la 7e position, se propulse à la 4e place cette année.

Belgique
Deux restaurants belges figurent dans le top 100. Le Hof van Cleve occupe la 42ème place (15ème l'an dernier) tandis que le restaurant "In De Wulf" du chef Kobe Desramaults, situé à Dranouter, fait son entrée à la 92ème position. In De Wulf possède une étoile au guide Michelin.

De Karmeliet

L'an dernier, l'établissement brugeois De Karmeliet figurait encore dans la liste établie par le magazine britannique "Restaurant Magazine", à la 54ème place. Le restaurant aux 3 étoiles n'est cette année par repris dans le classement.

France

Le premier restaurant français de la liste, "L'atelier" de Joël Robuchon, arrive à la douzième place, suivi d'une rafale de restaurants français: "Le Chateaubriand" (15), "L'Arpège" (16), "Pierre Gagnaire" (17) et "L'Astrance" (18). Au total, avec "Mirazur" à Menton et "Bras" à Laguiole, sept restaurants français sont classés cette année dans les 50 meilleures tables mondiales.

Prix spécial
Un prix (One to Watch) distingue un restaurant particulièrement prometteur, cette année "La Grenouillère" à La Madelaine-sous-Montreuil dans le nord de la France, dont le chef Alexandre Gauthier a repris les rènes en 2003 à l'âge de seulement 24 ans (81e position).

Le restaurant prometteur de l'an dernier, Frantzén-Lindeberg, à Stockhom, a gagné 37 places d'un coup pour se classer 20e cette année.

Royaume-Uni
Parmi les chefs britanniques, Heston Blumenthal prend la 9e place avec "Dinner", qui revisite les plats historiques de la cuisine anglo-saxonne. Son "Fat Duck" se classe 13e, devant un autre britannique, The Ledbury (14e).

Critiques
Le classement est régulièrement critiqué par des chefs et critiques gastronomiques français, qui lui reprochent de céder aux modes du moment.

Force médiatique
Pour sa part, Ferran Adria, dont le restaurant "el Bulli" a longtemps occupé la première place du podium, s'est félicité lors d'un passage à Londres lundi qu'il n'y "ait plus maintenant de monopole", allusion voilée au Michelin. "Ce que personne ne peut discuter, c'est la force médiatique de ce prix", a-t-il constaté.

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 05:33

 

      On mange au comptoir sans avoir la mal de mer et on y fait des rencontres intéressantes. C'est très convivial !


Les lieux où palpite une vraie gastronomie populaire ne sont pas légion dans la capitale. Place Sainte-Catherine, au Noordzee, s’est développée une street food pas chère… mais qui se savoure comme du petit-lait.

Quand on parle de gastronomie, c’est souvent la même imagerie qui surgit. Larbins mal à l’aise, nappe amidonnée, courbettes, “bonne dégustation” et voix qui chuchotent sur fond de tapis musical sirupeux. D’accord, ce n’est pas forcément aussi caricatural. Du plaisir de forcer le trait.
N’empêche, la gastronomie reste dans l’ensemble trop souvent associée à l’effet “petits plats dans les grands” et “vas-y que je t’en mette plein la poire, entre l’entrée et le dessert”. 
Sans nier qu’en certaines occasions, une telle approche peut être divertissante, ce n’est pas comme cela que personnellement on la voit cette gastronomie dont tout le monde aime se revendiquer. On l’imagine davantage proche des gens, née sans préméditation sur un coin de table.

Supprimer les barrières
 
A ce titre, il n’y a pas en ce moment meilleur exemple de cet art de bien manger qu’au Noordzee, adresse hybride de la place Sainte-Catherine.
Ici, justement, l’idée de restaurer est venue sur ce coin de table qui nous tient tellement à cœur. Soyons précis, c’était plus exactement sur le coin d’une caisse de poisson que l’approche est née. Au départ, il s’agit d’une poissonnerie pareille à tant d’autres. Sauf que, de fil en aiguille, les patrons se sont mis à ouvrir des huîtres pour les gens qui demandaient à les consommer sur place. Comme ça, sans façon, sur le pouce.
Il y a quelque chose de terriblement jubilatoire à supprimer les barrières entre les produits et les gens. Noordzee a compris 5 sur 5 ce message de libre circulation des denrées voulue par l’époque.

A la minute

Convaincu d’avoir fait vibrer le cœur gourmand des Bruxellois, Noordzee s’est structuré.
La poissonnerie est toujours là mais c’est désormais vers le comptoir – le Fishbar – que se tournent tous les yeux et tous les appétits.
Ici, rien n’est impossible, tout ce qui vous fait de l’œil dans l’étal peut être préparé minute.
Lors de la dernière visite, on s’est laissé aller pour les grands classiques de l’endroit.
Entre la soupe de poisson (3,50 euros) et les croquettes aux crevettes (5 euros). Sincèrement, à fraîcheur et qualité égales, où peut-on trouver ces délices à tel prix ?
Certains objecteront que l’on mange debout et que l’on se serre au comptoir.
C’est vrai mais les pauvres n’ont rien compris, c’est justement ça le bonheur : cette convivialité retrouvée. Celle-ci est d’ailleurs renforcée par un service très bruxellois dans le plus pur style “zwanze”. Celui-ci culmine quand on se fend d’un pourboire. On vous laisse la surprise. 

Ouvert du mardi au dimanche, de 9h à 17h (jusqu’à 18h vendredi et samedi; jusqu’à 20h le dimanche). www.poissonneriemerdunord.be

Wasabi
De Noordzee ()
Rue Sainte-Catherine, 45
1000 Bruxelles
02/513 11 92
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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 05:02

      Les ayant droits de Hergé sont condtamment en chasse et ils ne négligent rie, mais alors rien fu tout, pour encaisser DOLLAR IMAGE TTBTTB

 


BRUXELLES La brasserie Faubourg Saint-Antoine, située à Schaerbeek, va devoir revoir sa décoration entièrement consacrée à Tintin. Son patron a reçu un courrier de la société Moulinsart, titulaire des droits d'exploitation de l'oeuvre de Hergé, qui parle de "contrefaçons", rapportent La Capitale et Le Soir Magazine. 

Depuis 20 ans, la salle du restaurant est décorée avec des objets et pastiches de Tintin. "Je totalise près de 200 pièces ici. Je les ai trouvées dans le commerce, dans des brocantes ou je les ai reçues en cadeau", explique Bob, patron de l'établissement. "Il n'y a rien d'irrespectueux, aucun personnage n'est jamais tourné en ridicule".

Dans son recommandé du 23 août, la société Moulinsart estime toutefois que le patron de la brasserie utilise des éléments non-autorisés de l'oeuvre de Hergé. "Le courrier précise qu'ils avaient vu ça sur mon blog, alors que je n'en ai pas. Je n'ai même pas de site internet", réagit Bob.

Des représentants de la société Moulinsart sont entre-temps venus dans le restaurant et ont inspecté les oeuvres exposées, collant sur celles qui pouvaient rester des gommettes. "Les autres, je suppose que je devais les retirer", poursuit le tenancier, qui n'a plus eu de nouvelles depuis.
TINTIN-OBJECTIF-THUNE.JPG

© La Dernière Heure 2011

 

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