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20 décembre 2015 7 20 /12 /décembre /2015 15:50

Quelles sont-elles? Comment s'en prémunir? Et éventuellement, comment réagir?ARNAQUE-SIGNAL.JPG

Phishing 

Le "phishing", aussi appelé "hameçonnage", est l'envoi au consommateur d'un courriel ou S.M.S., à l'origine d'une institution bancaire le plus souvent, lui demandant d'enregistrer ses données personnelles pour vérification. Le lien donné pour compléter ces données renvoie en fait le consommateur vers un site "miroir", qui est une imitation du site réel de la dite institution. Si le consommateur entre ses données sur ce faux site web, il donne tout simplement les clés de son compte bancaire aux escrocs.

Le CRIOC recommande en cas de réception d'un tel courrier de ne pas y réagir et de l'effacer.

En cas de doute, contacter directement l'institution afin de vérifier la véracité de la demande. Dans ce cas, il ne faut évidemment pas utiliser les éventuelles coordonnées de contact indiquées dans le courrier reçu mais veiller à obtenir des coordonnées fiables par d'autres voies.

Cadeaux pas encore sous le sapin

Les plaintes de consommateur relatives au e-commerce sont nombreuses. Si le cadeau que vous aviez prévu de mettre sous le sapin tarde à arriver, et que la date de livraison n'est pas respectée, prenez contact par courrier recommandé avec la société incriminée afin de la mettre en demeure de procéder à la livraison de votre bien ou au remboursement dans les plus brefs délais.

S'ils ne donnent pas suite au courrier, le consommateur pourra déposer plainte auprès de la Direction générale " Contrôle et médiation" du SPF économie, WTC III, Av. Simon Bolivar 30, 1000 Bxl., Tél. 02/277.54.85, qui s'occupe des plaintes en matière de pratiques de commerce.(1)

De plus, le CRIOC rappelle au consommateur l'existence du site Infoshopping qui reprend toutes les informations et conseils dont le consommateur a besoin en la matière.

Appel de détresse

Des messages d'amis ou de membres de votre famille qui seraient dans la détresse peuvent vous parvenir. Ces messages indiquent qu'ils sont sans un sou à l'étranger suite à la perte ou au vol de leurs papiers. Ils vous demandent donc de l'argent pour les sortir de cette mauvaise passe.

A nouveau, si le consommateur reçoit un tel courrier, la meilleure solution est de ne pas réagir et de l'effacer car souvent ces messages sont constitutifs d'une usurpation d'identité, qui est un délit pénal.

Vous pouvez signaler de tels agissements que vous rencontrez sur internet sur le site Ecops, initiative de la Federal Computer Crime Unit de la Police Judiciaire Fédérale. De plus, n'oubliez pas de prévenir la victime de cette usurpation si le cas échéant elle n'était pas au courant.

Coffrets-cadeaux

L'apparition des coffrets cadeaux sur le marché a facilité la vie de bon nombre de consommateurs. Manque de temps, manque d'idée, horreur des magasins en période de fête, votre cadeau est tout trouvé: un coffret thématique dans lequel la personne trouvera forcément son bonheur.

Le CRIOC rappelle que chaque coffret est doté d'une date limite de validité. Toutefois, ces coffrets cadeaux sont censés être renouvelés dans les points de vente au plus tard 6 mois avant la fin de leur validité. Vous devriez donc avoir au minimum 6 mois pour utiliser votre chèque-cadeau. Notez également que ces coffrets cadeaux ne vous donnent aucune garantie de disponibilité en matière d'hébergement. Réservez le plus vite possible la formule de votre choix. Vous aurez ainsi plus de possibilités concernant les dates qui vous conviennent et vous éviterez de vous retrouver dans une situation d'urgence.

En cas de séjour ne correspondant pas à l'offre, il convient de faire une réclamation sur place auprès du responsable. L'idéal étant évidemment qu'une solution puisse être trouvée immédiatement. Si cela n'est pas possible, vous devrez collecter un maximum de preuves dans un but préventif et faire une réclamation par écrit entre les mains du responsable en étant le plus précis possible sur les manquements allégués.

En outre, vous devrez prendre contact avec la société émettrice du coffret cadeau dès votre retour via un courrier recommandé reprenant l'ensemble des griefs et les preuves récoltées. Cette dernière est, en effet, responsable de la bonne exécution de la formule proposée.

Petites annonces

Animaux, voitures, emploi, rencontres,… les petites annonces regorgent d'offres ou de demandes en la matière. Les escrocs vous vendront ou vous achèteront n'importe quoi en vous convaincant de leur faire un transfert d'argent sous de multiples prétextes en utilisant généralement les services Western Union ou d'autres modes de paiements déconseillés dans ce type de transaction.

Le CRIOC rappelle que Western Union est un moyen de paiement réservé entre personnes de confiance qui se connaissent. A proscrire donc dans tout autre type de transaction.

Fausses loteries et lettres nigérianes

La lettre nigériane est une des arnaques les plus anciennes. Une personne vous contacte en se présentant comme étant quelqu'un d'important (l'ex femme de; le fils de; le colonel de; le ministre de; etc.) et vous informe qu'une personne soi-disant fortunée vient de mourir. De ce fait, il serait en possession d'une importante somme d'argent stockée quelque part et qui n'attend que vous pour autant que vous lui apportiez une aide afin d'effectuer un transfert de fonds.

Encore une fois, sous de multiples prétextes, il sera demandé au consommateur un envoi d'argent via Western Union.

Quant aux fausses loteries, dans tous les cas, on vous informe que pour récupérer le prétendu gain que vous auriez remporté, vous êtes tenus de payer des frais administratifs et/ou des taxes. Or, et le CRIOC ne le répètera jamais assez: "Qui ne joue pas, ne gagne pas!"

Cartes de vœux

Les cartes virtuelles peuvent être utilisées en période de vacances de fin d'année pour souhaiter ses vœux à sa famille ou à des amis éloignés. Toutefois, les cybercriminels envoient aussi des cartes de vœux; à la différence que les leurs contiennent des virus et des logiciels malveillants.

Le consommateur restera vigilant lorsqu'il reçoit ce genre de cartes, en vérifiant toujours qu'il connaît bien son expéditeur.

Offres alléchantes

A la recherche du cadeau idéal, le consommateur pourrait se laisser tenter par des offres plus qu'alléchantes sur certains sites étrangers.

D'une part, les sites internet qui offrent des biens à des prix défiant toute concurrence sont souvent des sites-écrans pour voler les coordonnées personnelles des consommateurs.

D'autre part, de tels prix sont souvent synonymes de contrefaçon. Les contrefaçons peuvent constituer de réels dangers pour la santé et la sécurité du consommateur. Les dangers et les sanctions dans le domaine de la contrefaçon peuvent être retrouvés sur le site Contrefaçon du SPF Finances.

Tickets

Si vous pensez offrir un ticket pour un concert ou un évènement, soyez attentif au site sur lequel la commande est effectuée. De nombreux sites non officiels mettent en vente des tickets lorsque les sites officiels affichent sold-out. Mais de nombreux consommateurs se sont retrouvés par la suite sans ticket le jour J.

Si vous avez acheté vos billets à l'aide d'une carte de crédit, vous pouvez toujours faire appel à l'organisme émetteur de votre carte, qui pourra en principe vous rembourser.

Dans tous les cas, privilégiez les sites officiels de l'évènement pour éviter toute mauvaise surprise.

Œuvres caritatives

En périodes de fête, le consommateur est fréquemment sollicité pour venir en aide aux plus démunis en versant une petite contribution. Attention, car de nombreux escrocs y voient le bon filon.

Si vous souhaitez faire un don en cette période, renseignez vous utilement sur l'organisation en question. Rendez-vous sur les sites officiels des grandes organisations humanitaires ou consultez des sites spécialisés comme, par exemple, Donorinfo et Le Guide des Dons et Legs.

Crédits

Qui dit fêtes de fin d'année dit dépenses. Le CRIOC recommande aux consommateurs de raison garder et de ne pas céder aux sirènes du crédit facile qui peuvent conduire au surendettement.

On ne fait pas un crédit pour n'importe quoi. Il s'agit d'un acte important qu'il faut mûrement réfléchir. Plus d'informations sont disponibles sur le site de la plateforme Journée sans crédit.

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24 octobre 2015 6 24 /10 /octobre /2015 09:20

 APPARTEMENT-A-LOUER.JPG

 

 

Logement Annonces frauduleuses

Un bel appartement au Sablon, 52m2 en duplex, entièrement rénové pour 500 euros par mois. Une belle affaire ? Non. Une arnaque. Sur le site d’annonces gratuites Vivastreet.be, ce type d’arnaque immobilière pullule. « C’est cyclique, explique Olivier Bogaert, de la Computer crime unit (CCU). En ce moment, nous constatons beaucoup d’arnaques immobilières. En été, ils proposent plus d’offrir des jet-skis. »

 

 

Ici, le principe est simple. Lorsque vous avez repéré une annonce « intéressante », vous pouvez contacter le propriétaire pour obtenir plus de renseignements. Il vous répond alors en vous envoyant plus de photos du bien et en vous demandant de remplir une fiche signalétique : nom, emploi, revenu mensuel, durée du bail…

 

 

 

Une fois que vous avez répondu à cet interrogatoire en ligne, le propriétaire vous avoue qu’il est à l’étranger pour affaires. Souvent à Ouagadougou, parfois en Italie. Il vous propose de visiter l’appartement mais, pour ne pas se déplacer pour rien, il vous demande de verser la caution équivalente à deux mois de loyer via un mandat Western Union. Une fois que cela aura été fait, vous devez le lui faxer et, seulement à ce moment-là, il vous confirmera le rendez-vous. Bien évidemment, aucun propriétaire ne s’y présentera et vous ne recevrez jamais les clés.

 

 

« Beaucoup d’étudiants Erasmus sont victimes de ces pratiques, précise
Olivier Bogaert. Ils ne connaissent pas les prix du marché bruxellois et sont
trop contents d’avoir fait une bonne affaire. En plus, il est souvent difficile
pour eux de trouver un bail de 6 mois et ils s’engouffrent dans l’arnaque. »
 

 

Le site Vivastreet déplore de nombreuses arnaques de ce genre. Un onglet leur est exclusivement consacré mais l’équipe ne peut pas vérifier toutes les annonces postées. Par contre, si l’internaute repère une annonce frauduleuse, il doit la signaler au webmaster ainsi que sur le site de ecops, la police belge sur internet.

 

 

« Tout part du Nigeria »

 

 

« Malheureusement, malgré les nombreux messages d’information, nous avons toujours des gens qui versent de l’argent, confirme Olivier Bogaert. Même s’ils vous disent que vous pouvez cacher les codes secrets sur votre fax, sachez qu’ils ont des accords avec les tenanciers des agences Western Union sur place et qu’ils peuvent récupérer l’argent. Le nombre de plaintes n’augmente pas car elles ont peu de chance d’aboutir. Les auteurs se trouvent souvent en Côte d’Ivoire et la Belgique ne dispose pas d’accord avec ce pays. Nous avons aussi des arnaqueurs qui se trouvent au Bénin ou dans les autres pays de l’Afrique de l’Ouest mais tout part du Nigeria. Ce sont eux les spécialistes. A un moment, ils ont formé des francophones dans les autres pays d’Afrique et les élèves ont dépassé les maîtres. Aujourd’hui, ils sont plus actifs. Mieux vaut se méfier des trop bonnes affaires. »

 

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7 novembre 2014 5 07 /11 /novembre /2014 18:44

Quand des documents officiels volés tombent dans les mains d'un escroc, c'est l'enfer et la ruine pour la victime, qui n'obtient en outre que très peu de soutien des pouvoirs publics et du secteur bancaire. Voyez ici un douloureux parcours.

 ARGENT POCHE VIDE-copie-1

L’histoire incroyable d’un fonctionnaire victime d’une usurpation d’identité

BRUXELLES “Tout commence dans la nuit du 14 au 15 juin passé. J’avais laissé ma mallette à l’arrière de ma voiture. Le lendemain, la lunette arrière était fracassée et ma mallette avait disparu” , explique Roger, fonctionnaire de Bruxelles. Immédiatement, il se rend au commissariat, déclare le vol de son bien et de tous les documents qu’il contenait. Dont sa carte d’identité électronique.

Commence alors une véritable épopée, dont l’épilogue se fait attendre. “Le lendemain, la police me téléphone. On a retrouvé la mallette; presque tout y est, sauf ma carte d’identité” , poursuit-il. Celle-ci est alors déclarée volée auprès de l’administration. Le 28 juin, “elle est définitivement bloquée”.

Croit-on ! Car environ un mois plus tard, les mauvaises nouvelles arrivent dans la boîte aux lettres : Roger est victime d’une usurpation de l’identité. “Début juillet, les premiers faits sont visibles. Je reçois un appel de ma banque qui me demande de venir de suite. Quelque chose s’est passé” , raconte le malheureux. Ce quelqu’un venait d’effectuer deux retraits sur le compte d’épargne du fonctionnaire. 5.900 euros ont disparu.

Et ce n’est que le début. Dans les semaines qui suivent, Roger reçoit “des factures de téléphone auprès des grands opérateurs du pays” . En l’occurrence, il s’agit d’abonnements qui permettent au(x) malfaiteur(s) d’appeler pour des sommes exorbitantes. L’une d’elles représente plus de 3.500 euros… sur six jours !

Une douzaine de sociétés seront prises au jeu de l’usurpateur. Abonnements téléphoniques, ouvertures de comptes bancaires, ouvertures de lignes de crédit et déviation de courrier. “Et ce n’est que ce que j’ai pu voir, il est possible qu’il y en ait d’autres dont je ne sois pas au courant, puisque du courrier s’est volatilisé.”

En tout, ce sont près de 20.000 euros qui seront frauduleusement obtenus, aux frais de Roger. Combatif, il porte systématiquement plainte “dans plusieurs commissariats” car certains “semblent en avoir marre de me voir. J’ai l’impression qu’ils se contentent d’enregistrer les faits. L’enquête n’avance plus, malgré de nombreux indices” . Notamment des adresses, des numéros de téléphone et des images de surveillance.

Ce n’est pourtant pas le pire. La carte d’identité étant signalée volée, Roger reçoit un courrier dès que celle-ci est utilisée. C’est-à-dire dès qu’une société interroge la base de données CheckDoc du SPF intérieur. “On m’a montré le fonctionnement. Un message apparaît clairement qui signale que la carte est volée.”

En vain, à l’évidence. Tandis que certaines institutions ne connaissent même pas l’existence du système, d’autres l’emploient.

Puis octroient malgré tout crédits, comptes et autres services. “C’est incompréhensible. Ce système existe mais on ne s’en sert pas. Ma carte d’identité est toujours dans la nature et la personne l’utilise en toute impunité. Dans ces cas-là, on se sent très seul et on attend le prochain méfait.”

Un fatalisme auquel s’ajoute l’inquiétude : “Ma carte est valable jusqu’en décembre 2013. Si on ne la retrouve pas, elle peut encore servir. Même après décembre 2013 car je me demande si l’on fera attention à la date de validité…”



exDhnet Jean-Baptiste Marchal

 

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11 octobre 2014 6 11 /10 /octobre /2014 08:02

 

 

Ceci est une mise en garde : si un numéro dont le préfixe à l’étranger s’affiche sur l’écran de votre portable, redoublez de vigilance avant de décrocher. Et surtout, ne rappelez pas si vous ne connaissez pas l’identité de votre correspondant, même si celui-ci vous y invite.

Ces derniers jours, plusieurs Luxembourgeois qui, en répondant, avaient entendu des sons indistincts («et même des bruits d’ébats amoureux», témoigne l’un d’eux) ont en effet eu la désagréable surprise de découvrir sur leur facture téléphonique des appels surtaxés émanant de pays de l’Est (notamment le préfixe 0037, qui peut correspondre à la Lituanie, l’Estonie, la Lettonie, la Moldavie ou encore la Biélorussie) ou d’Amérique du Sud.EXCLAMATION 3-copie-3

Rien de bien méchant, quelques euros au départ, mais qui peuvent tout de même chiffrer au bout de quelques communications, une dépense dont les victimes se seraient bien passées.

Plusieurs plaintes ont été déposées ces derniers jours auprès des services de police tandis que les opérateurs, contactés par les plaignants, invitent à la vigilance. 

 

Source: lavenir

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10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 20:12

ALARMEVoici un cas très courant de mauvaise interprétation qui vous nuit... Gare à la perte d'argent donc. Mieux vaut savoir pour bien se défendre.

 DOLLAR IMAGE TTBTTB

 

 

Après même pas 6 mois d'utilisation, Alain doit faire appel au service après-vente du magasin auprès duquel il a acheté son smartphone. En effet, l'écran s'est fissuré lorsqu'un appel a été réceptionné alors que l'appareil était en charge. Un bon de réception est alors rédigé, et on lui annonce qu'il devra patienter environ 3 semaines avant la réparation. 2 mois plus tard, toujours pas de nouvelle. Il envoie alors un email, et la sentence tombe: les dégâts ne sont pas couverts par la garantie, car ils seraient dus à un choc, une chute ou une pression trop forte sur l'écran. Alain est alors confronté à un choix: une réparation lui coûtant 350€, ou le retour de son appareil non réparé, moyennant le paiement de divers frais pour un total de 49€. Vu la valeur de l'appareil, il opte pour la réparation, et confirme par email son accord. Mais 1 mois et demi après, à nouveau, il reste sans nouvelle. Et doit faire pression pour récupérer son appareil, et constater que la réparation de 350€ lui est en fait facturée près de 100€ de plus que ce que le réparateur agréé par le vendeur réclamait!

 

 

EXCLAMATION 3D'année en année, la loi de 2004 sur la garantie des biens de consommation continue d'être appliquée, et les problèmes qu'elle suscite se multiplient. Il n'est pas rare en effet que les vendeurs tentent de l'exclure, sous prétexte qu'il ne s'agit pas d'un défaut de conformité: tantôt ils invoquent un problème d'oxydation, tantôt ils invoquent une mauvaise utilisation, tantôt ils invoquent une chute de l'appareil. Et ils facturent alors des frais pour la réparation.

Or, en l'espèce, Alain savait ce qui était la cause du défaut, et elle ne résultait pas d'un de ces faits. Mais face au vendeur, il est fort démuni, et n'aura souvent d'autre option que de faire appel au juge. Dans les 6 premiers mois de l'achat, d'ailleurs, le défaut est présumé être un défaut de conformité, ce qui est à l'avantage du consommateur. Mais la loi autorise à prouver le contraire, et c'est ce que les vendeurs tentent de faire au moyen d'une expertise.

En outre, en vertu de la loi, le consommateur a le choix d'exiger du vendeur, soit la réparation, soit l'échange du bien, sans frais, dans un délai raisonnable, et sans inconvénient majeur. Vu le délai qui s'est écoulé entre le premier contact avec le service après-vente, et le moment où Alain a récupéré son GSM, il est certain qu'un échange aurait été plus rapide, et lui aurait causé moins d'inconvénients. Mais à nouveau, les vendeurs se permettent d'imposer au consommateur l'alternative de leur choix, sous prétexte que la loi tempère l'option offerte au consommateur par la formule suivante "à moins que ce soit impossible ou disproportionné".

Enfin, il est certain que le consommateur sera choqué de voir que le magasin lui facture une centaine d'euros supplémentaires, par rapport à ce qu'exige le réparateur. Qu'a fait le magasin, dans ce dossier, à part laisser passer le temps et répondre aux rappels de son client?

 

 

 

A fortiori dans le cas d'un bien d'une certaine valeur, le consommateur ne doit pas hésiter à faire trancher son litige par un juge, car c'est la seule autorité qui lui permettra de faire respecter ses droits par le vendeur. Le CRIOC ne cesse d'être confronté à des particuliers qui éprouvent des difficultés à faire valoir leurs droits, qui sont en principe offerts par la loi de 2004 sur la garantie des biens de consommation. A nouveau, nous réitérons nos recommandations au sujet de cette loi: d'une part, des garanties d'indépendance et de sérieux doivent être imposées pour l'expertise du vendeur, d'autre part, le consommateur doit pouvoir récupérer son bien sans payer de frais, si la garantie n'est pas applicable (en effet, il ne pouvait pas savoir à l'avance l'issue de l'expertise), et enfin, un bien de remplacement doit être fourni au consommateur pendant toute la durée pendant laquelle il est privé du sien.

 

Source: Crioc.be

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22 août 2014 5 22 /08 /août /2014 12:25

 VOLEUR

Les vols de code par smartphone et par portable
Elle voit tout ! - Google
Elle voit tout ! -Google

Les caméras se perfectionnent et se miniaturisent à ravir, ouvrant de merveilleuses possibilités aux mobiles, mais aussi aux voleurs !

Vous tapez si consciencieusement votre code pour retirer de l'argent à un distributeur automatique de billets que vous ne prêtez aucune attention à cet homme qui téléphone à côté de vous. En réalité, c'est un pickpocket et sa communication est feinte: il est en train de filmer votre code avec son smartphone ou son portable et il il s'en servira dans un autre distributeur et pour régler des achats dès qu'il vous aura subtilisé votre carte. A moins qu'il ne l'ait récupérée dès votre départ grâce au dispositif frauduleux qu'il a dissimulé dans la machine et qui vous a fait croire que celle-ci l'avait avalée.

La démonstration est très éloquente

Des journalistes du journal belge La Dernière Heure viennent de dénoncer cette redoutable pratique basée sur les derniers progrès des petits bijoux de technologie

www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/343568/attention-votre-code-secret-est-filme.html

Et aussi piège du billet de 5 € INTERROGATION2-copie-5

Qu'elle est aimable, cette jeune dame qui vous avertit que vous avez perdu ce billet de 5 € qui gît sur le sol ! En réalité, c'est elle qui a déposé le billet par terre après avoir lu par-dessus de votre épaule le code que vous venez de taper sur le clavier. Le temps que vous lui disiez que ce billet ne vous appartient pas et que vous la félicitiez pour son honnêteté, son complice, auquel elle a communiqué votre code, a pressé la touche "STOP" et récupéré votre carte que la machine a aussitôt restituée . Votre interlocutrice pestera avec vous contre ce distributeur qui avale les cartes, mais la suite est facile à imaginer...

Simples mais sages précautions
  • ICachez toujours la main qui tape votre code.
  • Si qui que ce soit vous distrait lorsque vous effectuez un retrait d'argent, enfoncez immédiatement le STOP et récupérez votre carte avant de lui accorder la moindre attention
  • Refusez l'aide de toute personne qui vous la proposerait pendant vos opérations.
  • Veillez à mémoriser et à conserver dans le répertoire de votre portable le numéro d'appel qui vous permettra de faire bloquer votre carte dès que vous remarquez quelque chose d'anormal.
Des fraudes par centaines de millions d'euros

Il est bien connu que le voleur a toujours une longueur d'avance, puisqu'il a élaboré et répété ses scénarios. Il les adapte ensuite aux situations précises qu'il rencontre et ... surtout à celles qu'il préfère. Il utilise avec plaisir les nouveautés technologiques dès qu'elles apparaissent sur le marché et contraint le secteur financier à d'énormes investissements en vue d'assurer la sécurité des moyens de paiement modernes. A vous d'être le grain de sable dans son engrenage infernal !

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22 avril 2014 2 22 /04 /avril /2014 03:38

 Des faux sites de vêtements ABERCROMBIE "made in China" !   Ex L'Avenir.be

 

>>> lien vers l'exclusion des "grosses" chez Abercrombie

 

<P>Le meilleur moyen de ne pas se faire arnaquer reste peut-être de se rendre au magasin bruxellois. En chair et en os.</P>

 

Le meilleur moyen de ne pas se faire arnaquer reste peut-être de se rendre au magasin bruxellois. En chair et en os.

 

   

BRUXELLES - Les faux sites Abercrombie siglé s «Bruxelles» se multiplient sur internet. De nombreux clients belges y ont commandé de la contrefaçon. Mais il existe un moyen simple de découvrir l’arnaque.

«À la demande de ma fille, j’ai validé une commande la semaine dernière sur www.abercrombiebruxelles.com. Je n’y ai d’abord pas prêté attention. Mais en consultant mon solde Visa, je constate que je suis débité en monnaie chinoise! Et bien sûr, je n’ai rien reçu et si je reçois, ça sera sûrement du faux! Toutefois, vu que le naïf, c’est moi, je doute d’être un jour remboursé. Ça sera une leçon»

«J’ai commandé un pull à capuche pour ma fille, j’ai payé avec PayPal et je n’ai eu aucun souci. J’ai reçu la marchandise en provenance de Hong Kong. Ça m’a étonnée car je m’imaginais que ça viendrait de Bruxelles! Maintenant, comme c’est le premier vêtement Abercrombie que j’achète, je ne sais pas si c’est un faux!? Quelqu’un peut m’aider?»

Les témoignages comme ceux-ci sont nombreux sur la toile belge. Car depuis l’installation en décembre du magasin Abercrombie & Fitch sur le Boulevard de Waterloo, les copies grossières, arnaques et contrefaçons qui surfent sur la localisation bruxelloise de la marque star des ados se multiplient sur internet.

Un premier site chinois, www.abercrombiebruxelles.com, a éclos dès décembre. Plusieurs clients belges s’y sont laissés tromper. Depuis, un jugement a été rendu aux USA (le 4 novembre) suite à une plainte d’Abercrombie & Fitch concernant une tripotée d’adresses sœurs. Et le site, qui avait été ouvert par les dénommés Wang Zhiming et Lin Huacong, a été remplacé par un affichage du jugement du tribunal de Floride.

Depuis, d’autres sites (sur lesquels on ne vous renverra pas d’ici) se sont ouverts. Ils reprennent des adresses trompeuses mentionnant Abercrombie, Bruxelles ou la Belgique. Ces sites en. be,. org ou. com sont pourtant tout aussi faux. Ils sont enregistrés en Chine ou à Hong Kong, aux noms de Xie Jifei, Lin Huacong (encore lui!) ou Hanxi Zheng. Ne vous laissez pas tromper: voici quelques trucs pour démêler le vrai du faux et du plus faux.


1°) Le seul site autoriséà vendre des vêtements Abercrombie & Fitch est la plateforme américaine de la marque:www.abercrombie.com. Vous noterez qu’il est en anglais.

 

2°) Jetez un œil au français utilisé sur le site que vous visitez: des expressions bancales (et désopilantes) vous mettrons la puce à l’oreille. Exemples : «Nous proposons un service que nous offrons une large sélection de Abercrombie and Fitch», «Nous offrons une expérience de magasinage en ligne», «La fabrication suit des critères rigoureux de qualité de gérer l’intégrité du tissu jusqu’à les moindres détails de points de suture» ou «Vous devriez semblent également pour les points manqués tout autour des bords et difficile à voir les pièces.

3°) Si le doute subsiste, la méthode ultime consiste à utiliser un service «whois»(pour «who», “qui” et «is», “est”). Il s’agit d’un moteur de recherche permettant de déterminer qui se cache derrière une adresse web. Le service concernant les adresses belges en. be est disponible sur www.dns.be, le site de l’ASBL qui enregistre les noms de domaines belges. Mais d’autres moteurs whois font aussi très bien l’affaire. C’est ainsi que vous dénicherez les enregistrements effectués depuis la Chine.

 

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 14:58

Dans le but de vous éviter des mauvaises surprises après avoir répondu à un simple mail, nous vous livrons ici celui que nous avons reçu.

MENTEUR

DANGER-copie-2

Remarquez le ton très autoritaire et l'adresse de l'auteur, qui n'est en rien une adresse Yahoo. Ne répondez jamais à ce genre de message, qui vous demande votre mot de passe, afin de pouvoir vous gruger par la suite.

 

COMIQUE: nous recevons ce message comme si notre compte était inutilisé... alors qu'il contient des dizaines de milliers de mails ! C'est la meilleure preuve qu'ils sont ce que vous pensez !

ATTENTION!!! : Yahoo risque de fermer votre compte
Dimanche 11 novembre 2012 21h12
De:
Ajouter l'expéditeur dans les contacts
À:
Destinataires-non communiqués
 
Cher Client Yahoo,

Yahoo! s'est engagé à maintenir un environnement sûr pour sa communauté d'utilisateurs. En raison de la congestion dans des nos serveurs, il y aurait suspension de tous les comptes inutilisés. Vous devrez confirmer si votre email est toujours en activité. Pour sécuriser votre compte et rapidement en rétablir l'accès complet, nous avons besoin de quelques informations supplémentaires de votre part. 

Ce processus est obligatoire, et s'il n'est pas terminé dans les 72 heures qui suivent le compte fera l'objet d'une suspension temporaire.

Pour confirmer en toute sécurité votre compte Yahoo!, gentiment remplir votre log in information ci-dessous après avoir cliqué sur le bouton Répondre. 

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Avertissement!!! Le propriétaire de compte qui refuse de mettre à jour son compte après deux semaines de recevoir cet avertissement perdra son compte de manière permanente.



Pour plus d'informations sur la façon de protéger votre compte vous pouvez visiter le Centre de sécurité Yahoo! Nous nous excusons pour tout désagrément causé, et apprécions beaucoup votre aide à maintenir l'intégrité de l'ensemble du système Yahoo!.

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27 janvier 2014 1 27 /01 /janvier /2014 16:27
A certains moments de l'année, les arnaqueurs redoublent d'activité et d'astuces pour gruger leurs naïves victimes. 
Un spécialiste d'internet a étudié les arnaques qui vous guettent sur internet. Voyez ici ses conclusions et ses conseils avisés.

Stéphane Van Gelder -

L'AUTEUR

Stéphane VAN GELDER,
Directeur général d'INDOM et président du GNSO (ICANN), Indom

 

.

Un cadeau du fisc ? Pourquoi ne pas y croire en cette période de Noël ? Les escrocs du Web ont dû suivre le même raisonnement lorsque, pour appâter des contribuables en leur promettant de les créditer d’une somme inattendue, ils ont envoyé des mails à entête du Ministère du Budget afin de récupérer données personnelles et numéros de carte bancaire. 

 
Le 5 décembre, Bercy alerte les internautes, mais le mal est fait.
Le lendemain, le Midi Libre nous apprend que les clients de l’opérateur Orange ont été victimes d’une escroquerie similaire. Le 12, c’est au tour du Figaro de révéler que la société SCOR aurait déjoué en septembre une tentative visant à détourner 798 000 euros au moyen d’une simple demande de virement.


Les techniques pour réaliser ces escroqueries portent des sobriquets exotiques. 

 On parle de phishing ou hameçonnage. Un modus operandi souvent utilisé dans des attaques sur les particuliers, les entreprises, les administrations et même l’État : plus de 150 ordinateurs infiltrés en décembre 2010 au ministère de l’Économie et des Finances, l’agression ciblant des informations relatives au G20 !

Hadopi détournée

 
Rien à dire, les pirates ont de la suite dans les idées. Tout récemment, des particuliers, adeptes du streaming, ont été victimes d’un code malveillant bloquant leur ordinateur. Une page affichant le logo de la gendarmerie leur propose de le débloquer en réglant en ligne une amende de 200 euros pour téléchargement illégal. Ou comment retourner la loi Hadopi à son profit : une idée qui avait sans doute échappé au législateur.


Mais les pirates sont toujours à l'affût du meilleur moyen de détrousser les internautes. 

Selon une étude réalisée par Eurostat en 2010 dans les 27 pays de l'UE, 5 % des internautes Français, soit environ 2 millions de personnes, auraient subi des pertes financières consécutives à une attaque de phishing ou depharming (type d’hameçonnage qui permet de diriger l’internaute à son insu vers un site maquillé et de récupérer ses informations confidentielles, mot de passe notamment).

Un marché noir du cybercrime


Les pirates ne se contentent pas de ponctionner comptes et cartes bancaires ; ils revendent les données récupérées : de 2 $ pour les identifiants d’un compte sans vérification du solde, à 700 $ pour un solde garanti de 82 000 $. Et parfois même jusqu’à 1 500 $, si le compte a été utilisé pour des achats en ligne ou sur une plateforme de paiement comme Paypal.


Le business a aussi ses produits et services dérivés :

 vente de copies de cartes bancaires (180 $ minimum), d’appareils à dupliquer les cartes de crédit (de 200 à 1 000 $), blanchiment d’argent et même logistique (achat et expédition de marchandises réglées avec des informations bancaires volées), moyennant des commissions calculées selon les montants ou produits considérés.


Ce réseau souterrain possède ses circuits de distribution, ses pages Facebook ou Twitter, et ses boutiques en ligne 

où les cyber-escrocs proposent, par exemple, des faux anti-virus. Bizarrement ces boutiques n’acceptent que les paiements effectués, d’avance (!), par des services comme ceux de la Western Union.

Gare à la fraude dans les noms de domaine


La fraude passe aussi par des fausses factures de noms de domaine ! Fréquemment utilisée par les pirates, la technique connue sous le nom de slamming consiste à envoyer aux titulaires de noms de domaine une facture de renouvellement avant l’échéance prévue.
Les clients peu coutumiers des procédures habituelles paient de bonne foi, sans se douter qu’ils signent alors le transfert du nom de domaine à un parfait inconnu… qui ne donnera généralement aucune suite à de quelconques réclamations.
En novembre dernier, suite à des attaques de ce type, les registres du .BE (Belgique) et du .IT (Italie) ont ainsi dû recommander la plus grande prudence après des vagues d'attaques de ce type. Parmi les spécialistes du genre, on trouve une société appelée Domain Registry of America et également connue sous le nom de Domain Renewal Group 

 
Autres cieux, autres mœurs. 

En Asie, les pirates contactent les entreprises européennes pour leur expliquer que des noms de domaine basés sur le nom de l'entreprise, de ses marques ou de ses produits vont être d’ici peu vendus à des tiers. Et de proposer "généreusement" de sécuriser ces noms en les enregistrant dès maintenant. Un service non sollicité qui prend ensuite les entreprises victimes en otage.
On trouve aussi, dans la liste des arnaques possibles, l’inscription, soi-disant obligatoire, à un annuaire de référencement de noms de domaine, à un prix particulièrement élevé. L'arnaque est déjà ancienne et se pratique aussi dans le monde réel (les professions libérales en sont souvent la cible).

Gros sous


Ces escroqueries causent à leurs victimes des dommages considérables. Dans le cas du phishing, perte d’argent directe, suite aux ponctions faites sur les cartes ou comptes bancaires, mais aussi perte indirecte, notamment pour les sites de jeux en ligne dont les escrocs revendent, contre argent comptant, les clés de licence ou les personnages des jeux piratés.
Le slamming, quant à lui, peut provoquer la perte d'un nom de domaine ou générer des risques de coupure ou de détournement d'un site associé, entraînant de fait une perte de chiffre d’affaires, mais aussi la détérioration de l’image de marque de l’entreprise et de son e-reputation.

Se défendre
Face à ces attaques, il est possible de ne pas rester victime. 

Une bonne stratégie de défense envisagée dès le départ et actualisée tous les ans permet de réduire considérablement les risques. 


Les outils existent pour ça :

 l’audit de sécurité des noms de domaine stratégiques de l’entreprise qui révèle toutes les failles potentielles la rendant vulnérable au cybersquatting et au phishing, ou encore les surveillances de noms de domaine ou de marques qui alertent dès qu’un cas suspect est détecté.

ex Journal du net

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18 octobre 2013 5 18 /10 /octobre /2013 04:28

 ARNAQUE SIGNAL

Madeleine est malade. Depuis des semaines, elle cumule des difficultés : son compagnon l'a quittée, son petit chat est malade, sa machine à laver est tombée en panne,... Une amie lui suggère de consulter un guérisseur en lui affirmant qu'on lui a jeté un sort. Après différentes manipulations et plusieurs rencontres avec celui-ci qui s'achèvent par des dons au tarif particulièrement élevé, elle se sent mieux et déclare que le mal s'est évaporé. La visite du guérisseur serait-elle efficace ?

 

Se rendre malade par peur de quelque chose ou de quelqu'un, c'est possible. Les spécialistes des effets de la suggestion sur la santé constatent que l'effet "nocebo" pourrait expliquer les symptômes ressentis par des personnes envoûtées. Une personne qui est persuadée qu'elle est victime d'un sort vit dans une angoisse permanente qui peut, à son tour, déclencher des troubles du système digestif, des maladies de la peau, augmenter le risque de maladies cardio-vasculaires ou d'infarctus.

Dans ce cas, l'intervention du guérisseur est simple.

Le consommateur au bout du rouleau vient en consultation à un moment de sa vie où il est particulièrement fragilisé et où le guérisseur apparaît comme l'ultime solution.

D'autant que lors des consultations, il va affirmer au consommateur, après enquête, qu'il a découvert la source de sa souffrance et qu'il est bien envoûté.

Ce verdict rassure le consommateur car il justifie tous ses échecs en une seule cause de surcroît extérieure à ce dernier. Le consommateur déresponsabilisé sera ainsi plus enclin à accepter les propositions du guérisseur, porter des amulettes censées détourner le mauvais sort et améliorer l'état de santé du consommateur.

Il ne reste plus au guérisseur que de suggérer au consommateur de pratiquer le rituel nécessaire à la disparition du sort. Et souvent, le consommateur se trouvera satisfait, le mal se sera évaporé comme le contenu du portefeuille. CREDIT POCHE VIDE

 

CRIOC.BE

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