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14 octobre 2015 3 14 /10 /octobre /2015 10:45

16 jours de festivités pour les amateurs de culottes de peau, de musique traditionnelle et évidemment de la reine des boissons bavaroises, la pils claire et amère.

La pluie n’a pas découragé les fêtards qui dès 8h00 du matin, soit deux heures avant l’ouverture, formaient déjà de longues queues devant les tentes les plus importantes de l’Oktoberfest.

Olivia Dassler, 19 ans, et Brittany Cowan, 20 ans, étudiantes californiennes ont fait le chemin depuis leur université de Florence (Italie).

«Pour tous ceux qui vont à l’étranger, c’est la première chose qu’ils réservent, la première chose qu’ils veulent faire», explique Brittany, élégamment vêtue d’une «dirndl», la robe traditionnelle bavaroise au décolleté plongeant, qu’elle a choisie en rose.

«On pense même revenir le week-end prochain si on s’amuse bien. On a entendu tellement de choses sympas sur l’Oktoberfest», ajoute-t-elle.

Tirée à quatre épingles

Pour son amie Olivia, elle-aussi tirée à quatre épingles dans une robe blanche, le costume traditionnel est ce qu’il y a de mieux. «Je n’ai jamais été en Allemagne avant et quand je pense à Munich, je pense aux costumes», dit-elle. «Je sais que c’est un peu stéréotypé mais ils sont tellement chouettes!»

Plus de six millions de personnes venues du monde entier sont attendues pour cette édition au cours de laquelle environ 7 millions de litres du nectar ambré devraient être consommés dans les 35 tentes géantes installées sur 26 hectares.

Certaines sont louées par de grandes entreprises qui y reçoivent partenaires, clients ou journalistes.

Pour accompagner leur boisson, les participants engloutiront des dizaines de milliers de bretzels, de knödel (boulette de viande, de semoule ou de pain) et autres délices bavarois. L’an passé, les buveurs ont eu la peau de 118 bœufs et de 53 veaux.

Andreas Maffey, pilote d’avion de profession, 33 ans et bavarois, se dit fier de participer à la fête : «nous avons le privilège et la chance de posséder le plus grand festival mondial à notre porte», dit-il.

«Je réserve ma table tous les jours pendant l’Oktoberfest mais je ne peux pas venir tous les jours, mon foie ne le supporterait pas», plaisante-t-il, ajoutant cependant prévoir de boire «environ huit litres» ce samedi.

Si l’Oktoberfest fête ses 202 ans, il ne s’agit que de la 179e édition. Deux guerres mondiales, deux épidémies de choléra et l’hyperinflation des années 1920 ayant empêché la tenue de 24 d’entre elles.

Hausse vertigineuse du prix au litre et pourtant voyez l"EPONGE !!!BIERE HOMME

Même si les prix ne galopent pas aussi vite que pendant l’Entre-deux-guerres, les festivaliers ont vertement critiqué cette année ce qu’ils considèrent comme une hausse vertigineuse des prix du litre de bière, affiché entre 9,10 et 9,50 euros.

En dix ans, le «mass» a connu une augmentation de 43 % et un mouvement est en cours pour tenter de limiter son prix aux environs de 7 euros.

Comme chaque année, les touristes viennent pour observer cette tranche de culture germanique. Question habillement, les hommes portent la culotte de peau traditionnelle aux motifs brodés tandis que les femmes arborent jupes longues et corset assurant une poitrine pigeonnante.

La culotte de daim est considérée comme la meilleure parce qu’elle se détend à mesure que le ventre s’arrondit sous l’effet de la bière.

L’origine de la Fête de la bière remonte aux noces du futur roi de Bavière Louis 1er avec Therese von Sachsen-Hildburghausen, le 12 octobre 1810. Elle a ensuite été avancée au mois de septembre, où la météo est plus clémente en Bavière.

Ces dernières années, la fête est devenu un événement international qui s’est exporté en Australie, au Brésil, au Canada, en Chine, aux États-Unis et en Russie.

L’édition de cette année dure jusqu’au 7 octobre.

 

ex Lavenir

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5 octobre 2014 7 05 /10 /octobre /2014 20:16

 

 

BRUXELLES Curieusement, les pères trappistes refusent tout usage trop mercantile de leur bière. Mais le refus de brasser de plus grandes quantités rend leurs produits désirables, car rares. Autant dire qu’ils sont devenus de redoutables experts en marketing.

Il est sans doute plus facile de pénétrer dans la réserve d’or américaine de Fort Knox que dans l’abbaye de Westmalle (voir par ailleurs). Tout au plus, chaque vendredi, vous pourrez vous présenter à la grille de l’abbaye pour acheter un et un seul casier de cette délicieuse rareté qu’est l’Extra. Quant à la Tripel et à la Dubbel (deux types de bière inventés par les maîtres brasseurs de la puissante abbaye anversoise), il en est brassé 120.000 hectolitres par an.

“Pas un de plus” , ont décrété ces moines cisterciens de la stricte observance.“Et ce, afin de garder la qualité.”

Une manière aussi de faire comprendre à ceux de l’abbaye de Scourmont dont le service commercial est géré par des laïcs qu’ils lorgnent trop vers le mercantilisme en augmentant la quantité de Chimay brassée (160.000 hl/an). Cette option commerciale n’est pas suivie par les autres abbayes belges.

À Westvleteren, c’est pire encore qu’à Westmalle pour l’amateur de breuvage houblonné : il est prié de communiquer la plaque d’immatriculation de la voiture et un numéro de téléphone sur un site internet. S’il existe trois bières différentes, l’amateur n’en recevra pourtant que deux sortes dans des quantités minimes. Pour permettre la rénovation de l’abbaye, Westvleteren avait augmenté la quantité de bière brassée l’an dernier.

Pour Philippe van der Beke, grossiste en bières à Bruxelles via la société SBS, Orval n’arrive plus à suivre la demande. “Cela fait plusieurs mois qu’il y a rupture de stock. À l’abbaye de Rochefort, les moines vivent carrément en autarcie. On s’était dit qu’en s’offrant la plus belle des embouteilleuses qui existe en Belgique, ils allaient se mettre à brasser des quantités énormes. Le nouveau père abbé a accepté de revoir les quantités à la hausse : 35.000 hl/an contre 15.000 voici deux ans.”

Une caractéristique des trappistes, c’est de veiller au bien-être au travail de leurs ouvriers. “On brasse 3 – tout au plus 5 – jours par semaine, le matin, puis on fait le nettoyage l’après-midi et chacun quitte les lieux à 17h30. Aucune autre brasserie belge ne peut se permettre de travailler à un rythme pareil.”

À Westmalle par exemple, la chaîne d’embouteillage est conçue comme une cathédrale lumineuse, où tous les bruits sont amoindris par des plaques accrochées au plafond. Les abbayes sont puissantes et peuvent donc s’offrir les machines les plus performantes et confortables, tout en les usant lentement.

Dans ce monde parfait, seule la trappiste d’Achel est encore à la traîne…



Jean Bernard

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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 05:05

BIERE-4-VERRES.JPGDécouvrez ici dans quel pays... C'est en Europe, pas où vous croyez, c'est, c'est ... ?

 

Dans la plupart des restaurants et des bars en République tchèque, une pils coûte moins cher qu'un verre d'eau. Pour le ministre de la Santé, il faut que ça change. Pas évident quand on sait que les Tchèques boivent 140 litres de bière par personne et par an, soit le taux de consommation le plus élevé au monde.

"La bière, c'est comme du lait maternel pour adultes ici", affirme Marek Gollner au Wall Street Journal. "C'est comme le vin pour un Français ou la vodka pour un Russe." Du pain liquide, en quelque sorte. Slate rappelle d'ailleurs que la bière n'était même pas considérée comme un alcool en Russie avant le 20 juillet 2011.

Leos Heger, le ministre tchèque de la Santé, voudrait obliger les établissements à proposer au moins une boisson non alcoolisée moins chère que la bière, essentiellement afin d'offrir une alternative aux adolescents qui peuvent boire à partir de 18 ans.

Mais cette proposition se heurte à la culture populaire, la législation qui entoure la consommation de bière étant un sujet "extrêmement sensible". Actuellement, une pinte de bière coûte moins d'un euro dans les bars tchèques, tandis qu'une portion semblable d'eau, de jus ou de soda coûte le double.

 

ex 7/7

>>> lien vers tous nos articles sur les boissons

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 13:40

Faire de l’alcool avec de la bière, c’est l’idée mise en bouteille par un jeune maître distillateur de Baugnies (Péruwelz, Belgique), Vincent Stiévenart, à la tête de la distillerie Gervin, l’entreprise familiale créée en 1976.

 

alcool ALEMBIC

 

Il y a deux ans, Vincent Stiévenart étonnait les palais en sortant une première originale : de la liqueur de Chicon. 

 

Sa dernière nouveauté est toujours réalisée au départ d’un produit typiquement belge ; il s’est en effet mis en tête de distiller de la bière. Et pas n’importe laquelle : l’acool qui vient de sortir de son superbe alambic porte en effet le nom évocateur de « Bush 42 ». Comme celui de cette ambrée pipaisienne qui titre à 12 % de volume d’alcool.

Cet alcool fleure bon les épices et la banane.

ex L'Avenir.be

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 04:43

BIERE-AUBEL.JPG   ( AUBEL se situe dans la Province de Liège, à l'est en Belgique).

  • Belle Saint-Nicolas que celle offerte aux amateurs de bières belges par l’association des consommateurs Test-Achats ! 
  • Et pour cause puisque l’institution a choisi de publier pour la première fois un guide sur les bières belges. 
  • Pour ce faire, elle a choisi de sélectionner par moins de 210 bières spéciales de fermentation haute : bières ambrées, bières blanches, trappistes et bières d’abbaye, bières blondes et brunes légères et fortes, gueuzes, krieks, bières rouges-brunes et vieille brunes flamandes. 
  • Bières qui ont toutes été soumises à une dégustation par un jury spécialisé et à une analyse chimique approfondie. Verdict ? 40 bières ont spécialement été recommandées par le jury et 17 ont remporté le titre de « Meilleur Choix », attribué en cas d’unanimité du jury. 

  • Un label de qualité suprême qui n’a malheureusement pas été octroyé à une bière de la région verviétoise, même si de nombreuses « wallonnes » s’y distinguent avec la brasserie Achouffe (3 meilleurs choix !), deux Bush, une Orval ou la Rochefort 8. 

  • Par contre au sein des 40 bières belges recommandées, ayant trusté une « majorité » du jury, la région verviétoise peut s’honorer d’une citation, la « Val-Dieu Brune » de la Brasserie de l’Abbaye du Val-Dieu.
  • BRUNE-D-AUBEL.JPG
  •  Une présence en très bonne compagnie puisqu’on y trouve Leffe, Mardesous, Chimay, Rodenbach, Floreffe, Mort Subite… On en passe ! Nul doute que ce type de reconnaissance aura un impact aussi sur la fréquentation du site aubelois.

  •  
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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 06:39
Modération encore et encore, car c'est un véritable lance-flamme ! Et puis, est-ce encore de la vraie bière ?

La bière la plus forte du monde s’appelle «Armageddon». Elle est écossaise et affiche fièrement ses 65º.

C’est la brasserie Brewmeiste, de la région d’Aberdeen qui a préparé ce breuvage à ne surtout pas boire si on veut juste se désaltérer.

Sa composition est tout ce qu’il y a de plus classique: malt, blé, flocons d’avoine et eau. Mais c’est son brassage qui constitue l’astuce de fabrication. Pendant le brassage, la bière est gelée à 0º. Dès que l’eau gèle, elle est retirée et seul l’alcool reste. D’où les 65º.

La bouteille est vendue pour pas moins de 40 livres, c’est-à-dire 50€. Et seulement sur le site de la brasserie.

Et comme Brewmeiste compte la faire homologuer au Guine
ss Book des records, son prix risque encore d’augmenter.
Il faut dire qu’il vaut mieux ne pas mettre cette bière-là entre toutes les mains et surtout pas dans tous les gosiers ni à n'iporte quel moment ! Sinon gare gare EXCLAMATION 3

ex Lameuse

 

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31 août 2013 6 31 /08 /août /2013 07:12

Et si le comportement intelligent c'était de ne jamais en abuser qui montrerait qu'on est intelligent ? interrogation-copie-1

 

Une récente étude américaine relayée par le Huffington Post vient de révéler que la consommation de quelques verres d'alcool permettrait d'augmenter la créativité de 50%.

Des psychologues d'une université de l'Illinois ont en effet réalisé l'expérience suivante. Ils ont fait boire à leurs patients de la vodka-cranberry afin qu'ils atteignent la limite légale d'alcoolémie autorisée par la loi américaine, à savoir 0,08 gramme.

Les "cobayes" ont ensuite devant eux une liste de trois mots : pêche (“ peach ”), bras (“ arm ”) et goudron (“ tar ”)et doivent trouver le plus rapidement un quatrième mot en association avec les trois autres. Le mot était fosse (“ pit ”), ce qui donne aisselle (“ armpit ”), noyau (“ peachpit ”) et puits de goudron (“ tar pit ”).

A la fin, on a remarqué que les personnes qui avaient donné le plus de bonnes réponses rapidement étaient celles qui avaient bu rapidement leur alcool.

Ils ont en effet résolu 9 jeux de mots en moyenne, contre 6 pour les "cobayes" sobres. Les réponses des personnes ayant consommé de l'alcool étaient aussi données trois secondes avant celles des sobres. Les patients ayant bu de la vodka cranberry ont donc répondu 25% plus vite et se sont montrées 50% plus créatives que les personnes n'ayant pas consommé d'alcool

Selon les psychologues, ces résultats s'expliqueraient par le fait que l'alcool désinhibe et abaisse les barrières mentales.

Ceci dit l'alcool n'est pas non plus le remède à tout.DANGER

Une autre étude publiée dans le Journal of Consumer Psychology explique que pendant les entretiens d’embauche organisés autour d’un repas, les candidats qui commandent un verre de vin sont moins bien perçus que ceux ayant préféré un verre d'eau. A tort si l'on en croit la première étude.

 

ex Lalibre

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26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 01:07

Ils ont vraiment la gorge en pente  et les litres succèdent aux litres !   Voyez ici à quels pays ils appartiennent.        

biere 600x400 Top 10 des pays où lon boit le plus de bière, mais vraiment beaucoup

Crédits photo (creative commons) : Maya83

Très populaire dans le monde entier, la bière est la boisson qui peut se prendre à n’importe quel moment de la journée (bon, si c’est avec vos céréales au petit-déjeuner, posez-vous des questions tout de même).

Si vous pensez que les français sont de bons-vivants, détrompez-vous ! (on les soupçonne quand même de préférer le vin avec un bon camembert).

Les 10 pays qui suivent, sont des maîtres en la malte-ière (ahaha), en ce qui concerne la consommation de houblon et consomment par habitant :

BIERE-HOMME.JPG
  1. La République tchèque : 156,9 litres par an par habitant. Soit presque 1/2 litre par jour. L’été pour se rafraîchir et l’hiver pour oublier qu’il fait (trop) froid.
  2. L’Irlande : 131,3 litres. Moins fort que le Whisky, certes. Ca permet de retrouver le chemin de la maison plus facilement à la sortie du pub.
  3. L’Allemagne : 115,8 litres. Avec une saucisse, c’est ce qui
  4.   passe le mieux, c’est vrai 
  5. Capturerff.JPG.
  6. L’Australie : 109,9 litres. Un surfeur qui boit de la bière comme un trou, ça casse un peu le mythe non ?
  7. L’Autriche : 108,3 litres. Histoire de copier les voisins teutons ?
  8. Le Royaume-Uni : 99 litres. Pour faire passer la Marmite et autres gelées à la couenne. Et la photo du prince Charles dans le pub. Forcément, ça énerve.
  9. La Slovénie : 93,3 litres. Voilà qui ne devrait pas arranger les stéréotypes sur les pays d’Europe de l’Est.
  10. La Belgique : 93 litres. Avec autant de (bonnes) bières locales, ça aurait été dommage de ne pas être dans le top 10…
  11. Le Danemark : 89,9 litres. Un viking n’est rien sans sa blonde.
  12. La Finlande : 85 litres. Cf point 1.

…38 La France : 33,7 litres par an par habitant. Pas de regrets, nos autres amis européens nous font largement honneur dans ce classement.

Et vous, vous en consommez combien par heure/jour/mois/année ?


Source et suite du classement : Wikipedi ex Ropito.com

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23 août 2013 5 23 /08 /août /2013 14:01

 

      Photo bière

 

Le grand public pourra découvrir à partir de vendredi un nouvel espace-musée entièrement consacré à la bière belge d’abbaye la plus populaire : la Leffe.

La « Maison Leffe » est logée dans la chapelle de l’ancien monastère « Bethléem », installé sur les hauteurs de Dinant en Belgique francophone et aujourd’hui transformé en hôtel-spa.

Après la fermeture il y a deux ans d’un premier musée situé juste en face de l’abbaye de Leffe, les amateurs disposeront à nouveau d’un lieu interactif où ils pourront notamment découvrir l’histoire de la Leffe, son processus de fabrication et ses nombreuses déclinaisons.

Le groupe brassicole AB Inbev a d’ailleurs profité jeudi de l’occasion pour présenter deux nouveautés. La Leffe Royale, une bière épicée à partir de trois variétés de houblons. Affichant 7,5 % vol. d’alcool, elle présente « un fini plus sec que les autres variétés Leffe », selon son brasseur Charles Nouwen.

 

A la bonne vôtre !

L'Avenir.net

 

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7 août 2013 3 07 /08 /août /2013 05:38

 

Les trappistes, des vraies bières d'amateurs éclairés

CHIMAY/ROCHEFORT - Les bières trappistes wallonnes ont de plus en plus la cote. Leur spécificité et leur qualité ravissent les amateurs.

Il existe sept bières trappistes au monde. Six en Belgique (Chimay, Orval, Rochefort, Westvleteren, Westmalle et Achel) et une aux Pays-Bas (La Trappe).

 C’est autant leur rareté que leur qualité qui rendent ces bières uniques et si appréciées par les véritables amateurs.Mais au fond, une trappiste, c’est quoi ? Car tout le monde ne peut arborer le fameux label « Authentic Trappist Product ».

D’abord, il faut un lien évident entre le monastère des pères trappistes et les produits. Quatre conditions doivent être remplies.

La bière doit être produite à l’intérieur du monastère. La culture d’entreprise doit, elle, être conforme au projet de vie monastique.

Le travail de brassage et de gestion de la brasserie doit être réalisé par les moines. Ou alors par des laïcs ou une entreprise qui dépendent du couvent bénéficiaire.

Enfin, les revenus de la vente des produits trappistes doivent être exclusivement dédiés aux besoins du monastère, y compris l’entretien des bâtiments. Pas de but lucratif, donc, les excédents étant reversés à des œuvres caritatives ou à d’autres monastères trappistes en difficultés.

Le triangle d’or

En Wallonie, donc, trois abbayes peuvent se targuer de produire de la bière trappiste.

1. Orval La brasserie, fondée par des laïcs en 1931, était destinée à trouver des fonds pour rénover l’abbaye qui date du XIIIe siècle. Sans doute de la bière était-elle brassée là par les moines dès sa création.

Sa spécificité ? Probablement cette amertume et ce goût fruité qui en font une véritable bière de caractère. Une bière d’homme disent certains. L’Orval se boit généralement dans les 6 à 8 mois qui suivent sa mise en bouteille. Mais les amateurs vous diront que, comme le bon vin, l’Orval vieux prend encore une autre dimension. Il (oui oui, on dit bien « un » Orval, des Orvaux…) se conserve jusqu’à 5 ans. Avec une évolution de goût unique. Autre qualité appréciée : elle ne titre qu’un peu plus de 6°.

2. Chimay La brasserie chimacienne date de 1863. Actuellement, l’abbaye de Scourmont brasse trois bières qui datent toutes d’après la Seconde Guerre mondiale. La Capsule rouge et la Capsule bleue (la plus forte) datent de 1948. Il s’agit de deux bières brunes. La Capsule blanche (comme la bière pâle contenue dans la bouteille) date, elle, de 1966. Elle s’appelle aujourd’hui la Triple, simplement pour ne pas la confondre avec… les Blanches.

3. Rochefort La Brasserie date de 1899. Elle commercialise trois bières : la 6, la 8 et la 10. Cette dernière est la plus forte des trappistes belges et s’appelait autrefois la Merveille. La Rochefort est une bière d’hiver qui se déguste au coin du feu.

Tout comme la Chimay et l’Orval, « la Roche » est aussi au départ une bière de réfectoire, à faible teneur en alcool, qui constituait… le pain des moines.

Eh oui, là où le brasseur passe, le boulanger ne passe pas…

 

ex Martial Dumont

J. Van den Steen, « Les bières trappistes, des saveurs et des lieux », Éd. Racine

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