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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 11:13

 

Carla Bruni Sarkozy sa frange pour aller voter 6 mai 2012 ZOOM

Carla Bruni Sarkozy avait-elle déjà senti le vent du changement ? La première dame de France en fin de mandat portait une nouvelle frange pour se rendre aux urnes dimanche 6 mai.

Depuis son accouchement, Carla Bruni Sarkozy se cache beaucoup derrière son rideau de cheveux longs et soyeux. Un air de timidité qu'elle a gardé pendant la campagne, discrète, se gardant de commentaires trop aventuriers. Hier soir, au moment du discours de Nicolas Sarkozy, particulièrement lyrique, l'ancienne première dame n'est pas montée sur scène, contrairement à Valérie Trierweiler à Tulle puis à la Bastille.

Carla Bruni Sarkozy dans Midnight in ParisCependant, Carla Bruni Sarkozy a bien dû se rendre visible auprès des photographes dimanche, au moment de se rendre aux urnes. On remarque un changement de coiffure mais non de posture. Toujours emmitoufflée dans son écharpe bleu persan, la chanteuse et ex-mannequin avait les yeux cachés sous une frange couvrante. Si on l'avait déjà vue frangée, c'était pour des chignons rétro ou pour la présenter en mèches sur son front. La tendance passe à d'avantage d'austérité.

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6 mai 2012 7 06 /05 /mai /2012 19:13
AFP

AFP

Il n’a jamais été ministre, se présentait pour la première fois à la présidentielle française, était raillé de tous: trop rond, trop apparatchik, trop provincial. Mais au terme d’une longue course et d’un sans-faute en campagne, le socialiste François Hollande a été élu président.

Rédaction en ligne

Publié le Dimanche 6 Mai 2012 à 19 h44

“Je suis celui que vous voyez, je n’ai pas d’artifice, je n’ai pas besoin de me travestir. Je suis ce que je suis, simple, direct, libre”, se décrit-il.

Au départ, personne n’attendait cet ancien chef du Parti socialiste pendant 11 ans et député de Corrèze, un département rural du centre de la France.

Il n’avait ni le charisme de l’ancien patron du FMI Dominique Strauss-Kahn, ni le lien charnel aux Français de son ex-compagne, Ségolène Royal, candidate en 2007. Natif de Normandie, il semblait très loin du charisme qu’exige en France l’élection présidentielle, cette onction républicaine.

Fils d’un médecin d’extrême droite

Fils d’un médecin rugueux d’extrême droite et d’une assistante sociale de gauche, il a bâti sa campagne sur une intuition: la France est fatiguée de l’énergie débordante de Nicolas Sarkozy, de son “exhibition permanente” et rêve d’une présidence “normale”.

Hollande a été avant tout l’”anti-Sarkozy”, la meilleure promesse de “dégager” le président sortant selon ses opposants qui reprennent les slogans du Printemps arabe.

La gauche avait un candidat crédible. Pas encore un vainqueur possible. Mais les mois de campagne électorale ont transformé la perception des Français de cet homme de 57 ans.

Sous le besogneux capable de parler fiscalité pendant des heures, ils ont découvert un homme plein d’humour, constant dans son programme, combatif en meeting et pugnace en débat face à Nicolas Sarkozy.

“Il a changé. C’est comme s’il était rentré dans ce costume (de président) au fil des jours”, estime sa compagne Valérie Trierweiler. “Il est tout à fait prêt à exercer cette fonction”.

Jusqu’au 14 mai 2011, le patron du FMI, Dominique Strauss-Kahn, est le favori des socialistes, des sondeurs et de la presse. Mais les déboires judiciaires de DSK ouvrent la voie à François Hollande.

Les premiers sondages le placent en tête des candidats de gauche préférés des Français. Mieux, il est en position de battre Nicolas Sarkozy.

Durant toute la campagne, ce dernier lui a reproché de se dérober, d’éviter les questions, la confrontation.

“L’homme n’est ni rusé ni cynique, il est simplement dans une posture d’évitement”, résume son biographe Serge Raffy.

“ Avec les filles, je suis plutôt dans la catégorie des médiocres ”

Evitement ? Le mot lui colle à la peau depuis sa plus tendre enfance quand, élève dans une école religieuse, il évite les punitions de ses rigoristes professeurs à coups de sourires et de bonne notes.

Après un déménagement à Neuilly, la très chic banlieue parisienne, il découvre Paris, la politique et les filles. “En amour et avec les filles, c’est comme en anglais, je suis plutôt dans la catégorie des médiocres”, dit-il.

Ni gauchiste ni anarchiste, il étudie à l’Ecole nationale d’administration (ENA), creuset des élites françaises, puis entre à la Cour des comptes. Il commence à écrire des “notes” pour le président Mitterrand, élu en 1981 et seul président socialiste jusque là de la Ve République (née en 1958).

A 26 ans, il tente le pari de se présenter aux législatives sur les terres du futur président Jacques Chirac, qu’il interpelle en réunion publique.

“Qui êtes vous, monsieur ?”, lui lance Jacques Chirac, qui dira bien plus tard l’apprécier.

“Je suis celui que vous comparez au labrador de Mitterrand”, lui répond le jeune socialiste.

Social-démocrate assumé, Européen convaincu, François Hollande grandit dans l’appareil du PS. Il espère entrer dans le gouvernement du président Mitterrand. En vain. Bis repetita en 1997 quand un socialiste, Lionel Jospin, devient Premier ministre à la faveur d’une victoire de la gauche aux législatives.

Les échecs de la gauche en 1995, 2002 et 2007 l’amènent à se décider.

A la rentrée 2009, Hollande discute avec sa nouvelle compagne Valérie Trierweiler. “Je lui ai dit: +si tu penses que tu es le meilleur, tu y vas+”, dit la journaliste politique.

“Il m’a répondu: +Je suis le meilleur+”, assure-t-elle. “C’est la première fois que je l’entendais dire cela”.

Le candidat perd plus de dix kilos, se fait tailler des costumes sur mesure, change de lunettes.

L’homme affable, qui fuit le conflit, veut s’afficher solide, “tenace”, sa principale qualité pour son ami, l’ex-ministre Michel Sapin. Il surprendra mercredi dernier, lors de son face à face télévisé avec Nicolas Sarkozy, en se montrant plus offensif qu’attendu.

Hollande est “insaisissable”, résume son fils aîné Thomas, qui y voit la marque d’un “homme libre”, un “stratège” qui veut comprendre les gens mais aussi avoir un coup d’avance.

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6 mai 2012 7 06 /05 /mai /2012 13:53

PARIS (Reuters) - Très présente dans la campagne de François Hollande, Valérie Trierweiler saura dimanche si son compagnon devient le septième président de la Ve République et elle, la nouvelle première dame.

Un bouleversement s'annonce pour cette journaliste sortie de l'ombre à mesure que l'homme qu'elle connaît depuis 23 ans et qui partage sa vie depuis le milieu des années 2000 s'approche de la fonction suprême.

C'est à ses côtés qu'elle vivra les derniers instants de la campagne jusqu'au dénouement, sur les terres de François Hollande, à Tulle, en Corrèze.

"Je ne sais pas ce qui va se passer dimanche, quand j'y pense j'ai les jambes qui flanchent, dans les deux cas, ce sera un séisme", confie-t-elle à Reuters.

Comme François Hollande, elle veut rester prudente et "ne pas laisser penser que les résultats sont faits".

"Quand j'entends Rachida Dati dire que je dois être en train de choisir ma robe, je pense qu'elle parle pour elle-même", réplique-t-elle à une pique de l'ancienne ministre.

Mardi soir, Valérie Trierweiler a assisté au spectacle de l'humoriste Stéphane Guillon avec la députée Aurélie Filippetti. Mercredi, elle a préparé le déjeuner et veillé au repos de son homme avant le débat contre Nicolas Sarkozy, exercice aussi essentiel qu'épuisant après 400 jours de campagne.

Discrète mais ni muette ni invisible, cette élégante femme blonde s'efface pendant les visites de campagne mais applaudit au premier rang des meetings, où le pudique François Hollande vient parfois l'embrasser, comme dimanche dernier à Paris-Bercy.

"JE NE CHERCHE PAS LA NOTORIÉTÉ"

"Les choses ont évolué. Au début j'étais en retrait. On me le reprochait. Là, on me reconnaît parfois quand je suis avec lui, sinon non, à part dans mon quartier", dit-elle.

"Je ne cherche pas la notoriété. Depuis quelque temps on me demande des photos, des autographes. J'accepte bien volontiers. Je signe simplement 'Valérie'".

Bienveillants à son égard, les passants se confient souvent à elle. "Les gens me parlent et me disent deux choses : 'merci d'être là pour lui, soutenez-le' et 'bravo pour votre discrétion'".

Quand on lui parle d'avenir, Valérie Trierweiler dit qu'elle fera "de son mieux", à l'instar de Carla Bruni lorsqu'elle entra dans la vie de Nicolas Sarkozy, rencontré fin 2007, épousé trois mois plus tard et avec qui elle a eu une petite fille, Giulia.

La mannequin devenue chanteuse a assisté à quelques meetings de son époux, qui ne tarit pas d'éloges sur "Carla".

"Carla Bruni et moi nous avons été présentés à la sortie d'un restaurant il y a plusieurs années, nous nous sommes serré la main", raconte Valérie Trierweiler.

"Comme première dame, elle a fait comme elle a pu. C'est quelque chose d'assez compliqué. Moi aussi, si cela devait arriver, je ferais de mon mieux".

"Première dame, c'est un second rôle", ajoute celle qui dit apprécier le style de l'épouse de François Mitterrand, Danielle, "entre le dévouement et l'engagement".

Née en 1965 à Angers, cinquième d'une famille de six enfants, Valérie Massonneau est mère de trois enfants, nés d'une précédente union avec Denis Trierweiler, dont elle a gardé le nom après leur divorce.

Elle a pris dans le coeur de François Hollande la place de Ségolène Royal, mère des quatre enfants du candidat socialiste, au moment où la présidente de la région Poitou-Charentes envisageait de briguer l'Elysée, ce qu'elle a fait en 2007. La journaliste politique a confié à une biographe s'être abstenue au second de tour de scrutin cette année-là.

Quand on lui parle mariage, Valérie Trierweiler reste aussi évasive que son compagnon.

"Je ne ferai pas de proposition de mariage par voie de presse", dit-elle.

"Nous le déciderons ensemble", souligne de son côté François Hollande, ajoutant que, le cas échéant, personne d'autre qu'eux-mêmes ne serait au courant.

"JOURNALISTE INDÉPENDANTE"

"Journaliste indépendante" revendiquée, Valérie Trierweiler travaille pour l'hebdomadaire Paris Match et la chaîne de télévision Direct 8, où elle a troqué son émission politique après la primaire socialiste pour une autre consacrée à des portraits d'artistes, "Itinéraires".

"J'ai besoin de travailler pour mon indépendance financière. Journaliste, c'est ce que je sais faire, c'est ce que j'ai toujours fait", dit-elle. "Si François gagnait, je serais obligée de me poser beaucoup de questions".

La campagne électorale ne l'a pas épargnée, la conduisant notamment à porter plainte à propos d'une enquête de police clandestine dont elle aurait fait l'objet.

Attaquée par Nicolas Sarkozy sur son travail à Direct 8, elle a dû subir la semaine dernière les moqueries du député UMP Lionnel Luca, qui a joué sur l'analogie entre son nom et celui d'une race de chien féroce, le rottweiler.

"Merci à toutes celles et ceux - sans exception - qui m'ont apporté leur soutien après les propos abjects de Luca", a-t-elle écrit sur son compte Twitter, un réseau qu'elle affectionne.

Quand on lui parle de "sacrifice", Valérie Trierweiler répond qu'elle "ne regrette évidemment rien".

"Cette histoire c'est d'abord mon histoire avec François, on s'est aimé, on s'aime, c'est le plus important", dit-elle. "Il y avait déjà des sacrifices dès le départ mais ils ne sont rien au regard de notre histoire".

Edité par Patrick Vignal

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5 mai 2012 6 05 /05 /mai /2012 06:28

      Carla Bruni vante et supporte son Sarkozy de mari dans sa tentative de nouvelle présidence de cinq ans !

Pour entrer en campagne, Carla Bruni-Sarkozy veut "casser" son image glamour

Carla Bruni. EPA

Confidences dans les médias, participation au premier grand meeting: Carla Bruni-Sarkozy, jusqu'ici discrète première dame, s'implique dans la campagne électorale de son mari, tentant de dessiner l'image d'une femme ordinaire, loin du glamour de sa vie passée de top model.


Publié le 19/02 à 13h50

“Je suis à côté de lui à 100%”: dans le quotidien gratuit 20 Minutes et le journal populaire Le Parisien, l'ex-mannequin clame en termes identiques sa foi en celui qui est pour elle“le plus à même de garder le cap pour notre pays”, celui qui “a tout fait bien ou presque pendant cinq ans”, celui dont les “idées sont fabuleuses, très fortes”.

CARLA-BRUNI.JPG

Restée dans l'ombre depuis sa grossesse -- et la naissance en octobre de sa fille Giulia --, Carla Bruni va s'impliquer dans la campagne, sa première puisqu'en 2007 Nicolas Sarkozy vivait les derniers feux de son union avec sa précédente épouse, Cécilia.

“Je m'investis. Pas de façon professionnelle mais humaine. J'accompagnerai mon mari quand il aura besoin de moi... dans les moments symboliques, dans les meetings”, dit-elle, tournant le dos à la jeune chanteuse bourgeoise rangée à gauche qu'elle incarnait encore il y a peu.

Son entrée en campagne est savamment orchestrée.

Son image se veut désormais celle de l'épouse aimante et attentive, propre à séduire des “classes moyennes” ciblées par le candidat, comme est venue fort opportunément le souligner une vidéo mystérieusement arrivée sur l'internet. Prise à la chaîne TF1 quelques instants avant l'annonce par le président de sa candidature le 15 janvier, elle montre Carla de dos, ajustant la légion d'honneur de son mari avant d'échanger avec lui un petit baiser maladroit.

Carla polit son image de “Madame tout le monde” en confiant son amour des séries populaires dans TV Magazine, supplément livré avec une soixantaine de quotidiens nationaux et régionaux.

“J'ai souvent regardé +Plus belle la Vie+ (feuilleton phare de la télévision publique) avec ma fille dans les bras ces derniers temps”, dit-elle, trouvant “fabuleuse” l'émission “L'Amour est dans le pré”, émission de télé-réalité où de jeunes agriculteurs cherchent l'âme soeur.

Alors qu'elle conseillait encore il y a peu la lecture des grands classiques de la littérature à un mari peu versé dans le domaine culturel, elle détaille désormais ses préférences pour des succès populaires, dit adorer le foot et confesse une passion récente pour le cyclisme: Nicolas lui a “fait découvrir le Tour de France”.

Cette nouvelle Carla représentera-t-elle un atout dans la campagne de son mari ? “Cela n'est pas en soi déterminant. On n'est pas dans un pays où ce critère-là est très important pour les électeurs”, estime Bruno Jeanbart, l'un des responsables de l'institut de sondages OpinionWay.

Cependant, ajoute-t-il, “cela peut s'inscrire dans un dispositif plus global, pour changer l'image du président Sarkozy (et) garder le débat centré autour de lui, un élément capital en campagne”.

Mais il estime difficile de changer “la perception du président” à deux mois du scrutin, alors que Nicolas Sarkozy est donné largement battu par le candidat socialiste François Hollande.

L'expert des médias Dominique Wolton reste sceptique.

“Le couple François Hollande-Ségolène Royal (elle fut la candidate des socialistes en 2007) frappe beaucoup plus l'imaginaire français: ils se sont aimés, séparés... alors que le couple Sarkozy, c'est les gens d'en haut, ça fait comm” (communication, NDLR), assure-t-il.

Carla Bruni-Sarkozy, dit-il, “est glamour, papier glacé, ce qui ne veut pas dire qu'il y ait une antipathie particulière envers elle, mais elle n'est pas assez banale pour que les gens s'identifient à elle”.

La twittosphère semble lui donner raison, ironisant sur la volonté de la première dame de participer à l'émission d'aventure populaire “Rendez-vous en terre inconnue”: un message suggère plutôt de l'envoyer faire un tour “dans le métro” parisien.RIRE-copie-2

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 07:11

Même si certains comme Johnny Hallyday s'abstiennent parce que cela leur a coûté très cher, des peoples prennent position en faveur des candidats à la présidentielle.

Parlons tout d'abord de François Hollande. La verve et les idées du candidat de gauche lui ont permis d'en rallier plus d'un à sa cause. L'homme fort du PS français peut ainsi compter sur la voix de Yannick Noah, sur celle – même fluette – de Jane Birkin et l'autre – toujours engagée – du chanteur Cali, ou sur le franc-parler de l'ancien Jacques Higelin. Fan de politiquement correct, l'ami Bénabar a beau arborer une jolie tignasse vieille France, il n'en vote pas moins lui aussi pour le rouge Hollande.

Les acteurs Michel Piccoli, Pierre Arditi, Denis Podalydès, Gérard Darmon ou encore Christophe Malavoy réservent également leur vote à Hollande, tout comme l'écrivaine Elisabeth Roudinesco, le médecin Olivier Lyon-Caen, le philosophe Yves Michaux, Mazarine Pingeot (fille de François Mitterrand), l'incontournable Jeanne Moreau, Juliette Gréco ou encore l'homme de notes et de télé André Manoukian. Enfin, plusieurs noms de la nouvelle génération affichent leur sympathie envers lui, comme Jamel Debbouze, Benjamin Biolay. Yaëlle Naïm, Jean Benguigui, l'humoriste Gérald Dahan, l'animatrice Valérie Damidot ou encore Geneviève de Fontenay, qui n'a jamais caché ses idéaux en matière de politique.

Une arrière-garde de fidèles pour Sarkozy

De son côté, Nicolas Sarkozy peut toujours compter sur son arrière-garde de fidèles, de Véronique (sans Davina, vice-présidente du comité de soutien au candidat-président) à Didier Barbelivien en passant par Christian Clavier, Jean Reno, Thierry Roland, Emmanuelle Seigner, Ingrid Betancourt, Marie Drucker ou Enrico Macias – qui dit a le coeur à gauche, mais le bulletin à droite.

Récemment, quelques pointures telles que l'écrivain Jean d'Ormesson, le réalisateur Claude Lelouch, l'acteur Gérard Depardieu, la navigatrice Maud Fontenoy ou la star de la télé Véronique Genest sont venues grossir les rangs du poulain UMP. On y dénombre quelques visages inattendus, à commencer par celui de la star du X Clara Morgane, ceux des inquiétants frères Bogdanoff, celui toujours bien hydraté du guignol cathodique Mickaël Vendetta ou encore celui de Florent Pagny qui, plus que jamais, sait aujourd'hui ce qu'est donner de la voix.

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29 avril 2012 7 29 /04 /avril /2012 05:26

 

 EXCLUSIF Alors que le fisc français lui réclame 9 millions d'euros, le chanteur peine à remplir les salles pour sa 181e tournée. Les trois concerts prévus au stade de France risquent même de tourner au fiasco financier.



Johnny Hallyday, invité de RTL en mai 2011 (Photo Le Floch/Sipa)

Johnny Hallyday, invité de RTL en mai 2011 (Photo Le Floch/Sipa)

S'il comptait sur ses concerts pour régler ses dettes au fisc français, Johnny Hallyday va devoir trouver autre chose. La billeterie de son ambitieuse tournée commencée le 24 avril par un gala à l’Orpheum Theater de Los Angeles, devant 2.000 fans français, donne des sueurs froides aux producteurs du rocker. Même revenu de l’enfer et malgré un très beau spectacle dans la tradition de ses grands shows à l’américaine avec lumières de Jacques Rouveyrollis, musiciens américains et orchestre symphonique, Johnny peine à attirer les foules.

La plupart des dates de la 181e tournée de Johnny affichaient avant le lever de rideaudes recettes très décevantes en comparaison des précédentes tournées, de l’investissement consenti par les producteurs et des capacités potentielles des lieux choisis. Moins de 5.000 billets ont été vendus pour le concert de Ruoms en Ardèche le 26 juin, moins de 25.000 au Stade de Nantes La Beaujoire, alors que deux concerts y étaient originellement prévus, moins de 15.000 au Mans, moins de 10.000 à Sochaux, moins de 1.000 à Tel Aviv en octobre.

Une pelouse qui restera vide JOHNNY-PENSIF-copie-1.JPG

Mais dans ce bilan décevant, les trois soirées des 15, 16 et 17 juin au Stade de France sont en train de se transformer en un piège financier, selon nos informations. Sur 80.000 billets mis en vente par spectacle, moins de 50.000 ont été vendus pour le 15, moins de 60.000 pour le 16 et moins de 25 000 pour le 17. La jauge du Stade de France est telle que dans la configuration choisie par l’organisateur, avec moins de 50.000 billets vendus, la pelouse est vide. Il aurait été prudent d’annuler une date mais plus le temps passe et plus cela devient difficile et coûteux. Une autre solution pourrait consister à arguer d’un empêchement de dernière minute, mais un tel choix, désastreux en terme d’image, est inimaginable de la part de Johnny et de son producteur.

Johnny qui, selon le Canard Enchaîné fait l’objet d’un redressement fiscal de 9 millions d’euros, avait touché une avance de 12 millions d’euros de la part de son nouveau producteur Gilbert Coullier lors de son transfert à l’été 2010. Une avance qui risque de s’avérer très difficile à récupérer ou à rentabiliser pour la maison de production, qui en outre a engagé plusieurs millions d’euros d’investissements pour cette tournée à hauts risques. Les trois semaines de répétitions à Los Angeles, les cachets des meilleurs artistes et musiciens, les gigantesques moyens de production, mais surtout la location des 50 salles et stades de la tournée sont les principaux postes de dépenses.

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 08:53

 

 

 EXCLUSIF Alors que le fisc français lui réclame 9 millions d'euros, le chanteur peine à remplir les salles pour sa 181e tournée. Les trois concerts prévus au stade de France risquent même de tourner au fiasco financier.



Johnny Hallyday, invité de RTL en mai 2011 (Photo Le Floch/Sipa)

Johnny Hallyday, invité de RTL en mai 2011 (Photo Le Floch/Sipa)

S'il comptait sur ses concerts pour régler ses dettes au fisc français, Johnny Hallyday va devoir trouver autre chose. La billeterie de son ambitieuse tournée commencée le 24 avril par un gala à l’Orpheum Theater de Los Angeles, devant 2.000 fans français, donne des sueurs froides aux producteurs du rocker. Même revenu de l’enfer et malgré un très beau spectacle dans la tradition de ses grands shows à l’américaine avec lumières de Jacques Rouveyrollis, musiciens américains et orchestre symphonique, Johnny peine à attirer les foules.

La plupart des dates de la 181e tournée de Johnny affichaient avant le lever de rideaudes recettes très décevantes en comparaison des précédentes tournées, de l’investissement consenti par les producteurs et des capacités potentielles des lieux choisis. Moins de 5.000 billets ont été vendus pour le concert de Ruoms en Ardèche le 26 juin, moins de 25.000 au Stade de Nantes La Beaujoire, alors que deux concerts y étaient originellement prévus, moins de 15.000 au Mans, moins de 10.000 à Sochaux, moins de 1.000 à Tel Aviv en octobre.

Une pelouse qui restera vide JOHNNY-PENSIF-copie-1.JPG

Mais dans ce bilan décevant, les trois soirées des 15, 16 et 17 juin au Stade de France sont en train de se transformer en un piège financier, selon nos informations. Sur 80.000 billets mis en vente par spectacle, moins de 50.000 ont été vendus pour le 15, moins de 60.000 pour le 16 et moins de 25 000 pour le 17. La jauge du Stade de France est telle que dans la configuration choisie par l’organisateur, avec moins de 50.000 billets vendus, la pelouse est vide. Il aurait été prudent d’annuler une date mais plus le temps passe et plus cela devient difficile et coûteux. Une autre solution pourrait consister à arguer d’un empêchement de dernière minute, mais un tel choix, désastreux en terme d’image, est inimaginable de la part de Johnny et de son producteur.

Johnny qui, selon le Canard Enchaîné fait l’objet d’un redressement fiscal de 9 millions d’euros, avait touché une avance de 12 millions d’euros de la part de son nouveau producteur Gilbert Coullier lors de son transfert à l’été 2010. Une avance qui risque de s’avérer très difficile à récupérer ou à rentabiliser pour la maison de production, qui en outre a engagé plusieurs millions d’euros d’investissements pour cette tournée à hauts risques. Les trois semaines de répétitions à Los Angeles, les cachets des meilleurs artistes et musiciens, les gigantesques moyens de production, mais surtout la location des 50 salles et stades de la tournée sont les principaux postes de dépenses.

 

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26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 17:41

 

JOHNNY-PENSIF.JPG

Questionné par les équipes de TF1 après son concert hier soir au théâtre Orpheum de Los Angeles, Johnny Hallyday a tenu à répondre à l'hebdomadaire qui l'accuse de devoir neuf millions d'euros au fisc.

 

 

Dans son édition de ce matin, le Canard enchaîné révélait qu’un redressement fiscal de 9 millions d'euros avait été notifié à Johnny Hallyday fin 2011. Dans une interview exclusive donnée à TF1 hier soir après le début de sa tournée à Los Angeles, le chanteur de 68 ans, a mis les points sur les I. "S'il faut leur donner 9 millions d'euros, va falloir qu'ils attendent parce que je ne les ai pas, a-t-il rétorqué, non sans un certain agacement. Qu’on me foute un peu la paix! Que l’on me laisse faire mon métier tranquillement c’est ce que je sais faire de mieux…". Une déclaration qui corrobore les informations des journalistes Renaud Revel et Catherine Rambert, les deux auteurs de Johnny, les 100 jours où tout a basculé, qui révélaient les problèmes financiers du rockeur aux 100 millions de disques vendus dans leur livre. «La PME Johnny Hallyday est en fait au bord de la banqueroute, expliquaient-il en 2010. Le business Hallyday était auparavant très lucratif. Contrairement à une idée répandue, Johnny est un "travailleur pauvre", qui, malgré ses nombreuses années de carrière, n’a pas cumulé de patrimoine, car il a toujours eu un train de vie flamboyant.» Reste que même si elle n’affiche pas encore complet, la tournée de 56 dates que Johnny a débuté hier, devrait contribuer à renflouer son compte en banque.


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26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 17:40

 

 


Dans son édition du jour, Le Canard Enchaîné affirme qu’une enquête de la brigade nationale des enquêtes fiscales, déclenchée en décembre 2010, a révélé un «réseau complexe de sociétés au fonctionnement plutôt baroque», notamment des transferts d'actifs au Luxembourg vers une société dont les actionnaires comptent une autre entité domiciliée au Libéria. Contacté par le Canard Enchaîné, le fondé de pouvoir du chanteur, Pierric Carbonneaux Le Perdriel, s'est refusé à tout commentaire, ajoutant qu'«(il) quitte toutes (ses) fonctions dans les sociétés de M. Hallyday dans un délai d'un mois».

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Contacté par l'AFP hier soir, le service de presse de Johnny Hallyday a répondu «n'avoir aucun commentaire à faire pour le moment». Johnny apparaît régulièrement en tête du classement des revenus estimés des chanteurs français du magazine Challenge (comme pour l’année 2009 avec 11 millions d’euros de revenus alors qu’en 2011, les ventes modestes de son album Jamais Seul lui avaient rapporté 2,62 millions d'euros), Libération rappelle que Johnny «qui connaît depuis plus de trente ans des démêlés avec le fisc français, s’est installé en 2007 en Suisse, dont il dépend pour ses revenus personnels. Ses activités artistiques et commerciales en France relèvent toujours de l’administration française.»


Johnny qui débutait hier son grand come-back sur scène doit aussi faire face aux réservations contrastées de sa tournée. «Un tiers seulement des places auraient été vendues, précise l’hebdomadaire. Et ce malgré des prix cassés sur Internet. Le nombre de réservations pour les trois concerts des 15, 16 et 17 juin, est si riquiqui qu'il est envisagé d'annuler la dernière soirée. Dans d'autres villes (la tournée compte une cinquantaine de dates), les organisateurs ont décidé de se rabattre sur des salles plus petites. A Nice par exemple, le stade Charles-Ehrmann a été abandonné au profit du palais Nikaia (9000 places).»


Décidément pour Johnny, noir c’est noir! 

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17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 07:41

De Nicolas Srkozy à Marine Le Pen en passant par Jean-Luc Mélanchon, ils ont de l'argent, vraiment beaucoup d'argent et de fortunes immobilières !

 Les pauvres.....RIRE-copie-1.JPG

Si Nicolas Sarkozy cherche à apparaître comme le candidat du peuple, son patrimoine n'est pas celui de monsieur tout le monde. Selon une enquête de l'Express, le chef de l'Etat est à la tête de 2,3 millions d'euros. Soit un peu plus qu'au début de son mandat en 2007 (2,14 millions).

La fortune de François Hollande est deux fois moins importante. Le candidat du PS possède 1,17 million d'euros de biens immobiliers, dont une villa de 130 mètres carrés sur les hauteurs de Cannes évaluée à 800.000 euros. S'il n'est pas assujetti à l'impôt sur la fortune, c'est grâce à son principal concurrent dans la course à l'Elysée, qui a décidé l'an dernier de relever le seuil d'entrée à l'ISF, de 790.000 à1,3 million d'euros.

François Bayrou la joue modeste, expliquant à l'hebdomadaire que l'épargne familiale est stockée sur des livrets et autres comptes courants. Le chef de file du MoDem est tout de même propriétaire de deux biens immobiliers : une maison dans le Béarn, d'une valeur de 450.000 euros, et un pied à terre à Paris, estimé à 410.000 euros.

Le candidat du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon, n'est pas non plus à plaindre, avec un patrimoine estimé à 760.000 euros, qui provient essentiellement d'investissements dans la pierre. Sans compter ses revenus de député européen (6.200 euros nets par mois). Mais, selon l'Express, l'homme, issu d'une famille modeste, profite "sans excès" de ce train de vie confortable.DOLLAR IMAGE TTBTTB

La présidente du Front National, Marine Le Pen, bénéficie de revenus similaires, grâce à son poste au Parlement européen. Son patrimoine est difficile à évaluer, car il est partagé entre les membres de la famille, souvent dans des sociétés civiles immobilières (SCI).

Dominique de Villepin n'a pas répondu à l'Express. Mais, selon le magazine, l'ancien Premier ministre serait plus fortuné que Sarkozy, avec un patrimoine de 4 millions d'euros, et posséderait même son propre hôtel particulier parisien, acheté 3 millions d'euros en 2010.

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