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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 06:18

Des réponses à des questions que vous vous êtes posées... ou pas

 

NOUVEAU

Pendant le ramadan, des musulmans dans le monde entier s’abstiennent de s'alimenter, de fumer et d'avoir des contacts sexuels entre le lever et le coucher du soleil. Voici quelques chiffres liés au ramadan.

© Reuters

 

7.504.984 de tonnes de dattes

Traditionnellement, les musulmans savourent des dattes sucrées après le jeûne observé la journée. Les vendeurs de dattes font des affaires en or.

L’Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) calcule que 7,5 millions de tonnes de dattes sont consommées chaque année, dont une grande partie pendant le ramadan.

1,6 milliard de musulmans

La religion islamique est la seconde religion du monde après le christianisme. Bien que les musulmans soient souvent associés au Moyen-Orient, 2 musulmans sur 3 habitent en région asiatico-pacifique. À elle seule, l’Indonésie compte plus de 209 millions de musulmans.

15 heures

Pendant le ramadan, les musulmans des Émirats arabes unis ne peuvent ni boire ni manger pendant quinze heures par jour alors que les températures atteignent facilement 50 degrés.

2,5 pour cent

Le don aux démunis constitue l’un des piliers de l’Islam. Durant le ramadan, ce principe doit être mis en pratique. En moyenne, il faut faire don de 2,5 pour cent de son revenu aux pauvres ou à une bonne œuvre.

6 heures

En Oman, il est illégal de travailler plus de six heures par jour durant le ramadan. La productivité économique baisse pendant cette période alors que la demande d’activités culturelles et religieuses augmente.

29 jours (ou 30)

La date de commencement du ramadan varie d’année en année puisque le calendrier islamique est un calendrier lunaire, réglé sur les phases de la lune. Traditionnellement, le mois commence lorsque le premier croissant de lune est visible, juste après le coucher du soleil.

Cet aspect suscite les discussions, car il faut que la lune soit visible à l’œil nu. Ainsi, les musulmans marocains ont commencé à jeûner un jour plus tôt.

 

Annelies Van Erp

Annelies Van Erp

Source: The Guardian

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 09:44

 

Bernard Tapie lors de son intervention sur le plateau de France 2, le 1er juillet.

 

Chargés d'éclaircir les conditions dans lesquelles Bernard Tapie a pu obtenir un arbitrage favorable pour régler son litige avec le Crédit lyonnais, les juges Serge Tournaire et Guillaume Daïeff ont choisi de frapper l'homme d'affaires au portefeuille.

Le 28 juin, ils ont délivré une série d'ordonnances de saisies pénales, après avoir obtenu l'accord du parquet de Paris. Ils postulent, pour justifier leurs actes, que "Bernard Tapie apparaît comme le principal bénéficiaire des sommes versées par le CDR [l'organisme chargé de solder le passif du Crédit lyonnais] au terme d'une escroquerie dont il apparaît comme l'un des organisateurs".

Le couple Tapie, Bernard et Dominique, dispose de quinze comptes bancaires, en France, mais aussi à Monaco. L'acteur assure vivre de ses dividendes, à hauteur de 25 000 euros mensuels, et pense avoir payé 2 millions d'euros au titre de l'ISF en 2012. Les juges estiment que, à la suite de l'arbitrage, l'homme d'affaires a reçu au total 278 millions d'euros.

 VILLA À SAINT-TROPEZ, HÔTEL PARTICULIER RUE DES SAINT-PÈRES

Les juges ont d'abord fait saisir deux assurances-vie, souscrites par les Tapie en novembre 2008, grâce au montant faramineux du préjudice moral qui leur a été accordé en juillet 2008, soit 45 millions d'euros. Leur valeur de rachat est estimée par les enquêteurs à 20 780 272,66 euros.

Les magistrats ont également saisi les parts sociales détenues par Bernard Tapie dans son hôtel particulier de la rue des Saints-Pères, à Paris, à hauteur de 69 300 000 euros. Ils ont aussi confisqué la villa "la Mandala" achetée par l'homme d'affaires à Saint-Tropez, le 29 septembre 2011, pour un montant de 48 millions d'euros. C'est l'agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (AGRASC), alertée le 28 juin, qui va procéder aux actes.

Les juges ont également demandé l'avis du parquet pour saisir six comptes bancaires, un contrat d'assurance-vie de 180 millions d'euros détenu par la holding Groupe Bernard Tapie domiciliée à Bruxelles, et même les parts de l'homme d'affaires sur la SA Groupe Hersant Media, les journaux La Provence et Nice-Matin, rachetés par M. Tapie.

Par ailleurs, la brigade financière a adressé aux juges un inventaire complet des biens de la famille Tapie. Grâce à l'arbitrage, Mme Tapie a offert le 20 octobre 2008 à Stéphane Tapie, leur fils, un bien immobilier de 320 m2 à Asnières-sur-Seine, payé 1 335 000 euros. Un autre appartement est acquis à Marseille, le 5 mars 2009, pour 270 000 euros. Puis elle a acheté le 29 octobre 2010 un appartement à Neuilly-sur-Seine, avec sauna et jardin privé de 213 m2 pour 2 650 000 euros. C'est sa fille, Sophie Tapie, qui l'occupe. Deux ans plus tard, le 1er octobre 2012, elle acquiert un hôtel particulier, toujours à Neuilly-sur-Seine, pour 15 200 000 euros.

Bernard Tapie, lui, possède une résidence secondaire à Combs-la-Ville (Seine-et-Marne), la villa de Saint-Tropez, un yacht, le Reborn, payé 40 millions d'euros et amarré à Marseille, 426 tonnes pour 74 mètres de long, qu'il loue 500 000 euros la semaine. Il utilise aussi pour ses déplacements une Range Rover, une Smart, et son avion privé, qu'il a décidé de revendre pour 15 millions d'euros.

 

Source : LemondeFabrice Lhomme et Gérard Davet

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6 juillet 2013 6 06 /07 /juillet /2013 08:41

Le roi des Belges abdique après 20 ans de règne. Nous vous offrons ici une sélection des caricatures qui l'ont illustré. Les auteurs s'en donnent à coeur joie... et le roi apprécie !

 

CARICATURE ROI ARBRE DE NOEL

             CARICATURE DE KROLL

cARI

 ALBERT-ET-PHILIPPE-RELAIS.jpg

                                    CARICATURE DE SOUDRON

 

ALBERT-KROLL-COULEURS.jpg

   CARICATURE DE KROLL

 

ALBERT-SOLDE-TRONE.jpg

CARICATURE DE DUBUS... JOLI SOLDE §

 

 

>>> cliquez ici pour les voir

 

!!! j'en ajouterai bientôt d'autres: revenez-moi !!!

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6 juillet 2013 6 06 /07 /juillet /2013 05:57

 On en parle sans arrêt et dans tous les sens !

JOHNNY PENSIFUn nouveau livre révèle les secrets de Johnny Hallyday ! C'est le chanteur français qui gagne le plus, mais mais mais...ARGENT POCHE VIDE

Son père. La blessure et le grand absent. Léon Smet, artiste belge, court les cachetons avec des numéros de clowns et de danse, tente sa chance à Paris, travaille pour une télévision collaborationniste sous l'Occupation, quitte sa famille à la fin de la guerre, se réfugie en Espagne, puis tombe dans l'escroquerie et l'alcool. Le jour de son enterrement, en novembre 1989, son fils est le seul à suivre le corbillard.

Petit rat. Sa tante Hélène Mar, qui surveille étroitement son éducation, lui impose le violon et la danse classique avec ses cousines, qu'il pratique de huit à quatorze ans. Il fait même quelques entrechats avec Serge Lifar, ancien danseur et maître de ballet à l'Opéra de Paris. À l'adolescence, il jette l'éponge. Le secret de ses fameux déhanchements ?

Voyou. À la fin des années 1950, Johnny (alias Jean-Philippe Smet) traîne avec sa bande dans le square de la Trinité à Paris et commet quelques larcins. Il se spécialise dans le vol des Vespa et des disques, en glissant les 33 tours sous son blouson dans les rayons des disquaires. La légende veut qu'il en ait même "emprunté" chez Eddy Mitchell à l'occasion d'une surprise-partie, se faisant ainsi repérer par le chanteur.

Révélation. Après avoir imité Elvis devant sa glace, Johnny se rend pour la première fois à l'Olympia au concert du rocker Gene Vincent en 1959. Très intimidé, il assiste à la performance au côté de sa tante Hélène Mar, soixante et onze ans, qui le chaperonne toujours. "Je suis sûre que tu peux faire aussi bien que ce garçon", décrète-t-elle, confiante, à l'issue du concert. Quelques mois plus tard, elle signe en son nom son premier contrat.

Beatles. En 1962, quatre jeunes Anglais font le pied de grue pour croiser cette star française qui affole la jeunesse. Ils ont appris qu'il recherchait des musiciens, pourquoi pas eux qui accompagnent déjà Tony Sheridan ? Les Beatles attendent la star dans leur bus Volkswagen, à la sortie de l'Olympia, et lui proposent leurs services. Johnny refuse : c'est trop tard, il a déjà d'autres projets.

Shakespeare in love. Fasciné par l'histoire de Hamlet, le rocker décide dans les années 1970 de monter un énorme spectacle, une sorte d'opéra rock pour lequel il n'enregistre pas moins de 29 titres inédits. Le double 33 tours sort en septembre 1976 avant de faire un flop retentissant : les pires ventes de la carrière de la star ! Le spectacle, sur lequel travaillait déjà Robert Hossein, ne verra jamais le jour.

Caïd. Johnny a bien connu Mémé Guérini, figure célèbre du milieu marseillais. Il lui ouvre les portes des établissements du Sud-Est, le prend sous son aile en le faisant protéger par l'un de ses lieutenants, Robert Le Noir. Un jour, le chanteur se fait tirer dessus à la sortie d'un restaurant. Le Noir prend l'affaire en main, et les ennuis s'arrêtent. "Quand j'avais des ennuis avec les gens du milieu, c'est quelqu'un qui m'a toujours arrangé le coup", reconnaît la star.

Zozotement. Il arrive que le rocker soit pris d'une légère altération de l'élocution qui peut revenir lors de grosses fatigues. Ce trouble remonterait à l'enfance, lorsque, gardé en nourrice, le jeune Jean-Philippe aurait échappé à la vigilance des adultes pour goûter quelques paillettes de cristaux de soude caustique qui traînaient dans un coin. Pas d'intoxication, mais des brûlures et un léger zézaiement jusqu'à l'adolescence.

Politique. Johnny n'a jamais caché ses opinions de droite. Il soutient successivement Valéry Giscard d'Estaing, Jacques Chirac puis Nicolas Sarkozy. Lors de la dernière campagne présidentielle, il dit rester son ami mais dîne en même temps avec François Hollande, lors d'une soirée privée. "Il n'a pas l'étoffe d'un de Gaulle ou d'un grand homme d'État", aurait-il déclaré ce soir-là sur l'ancien président.

Record. Après plus de quarante ans de carrière, Johnny entame aujourd'hui sa 181e tournée.BRAVO Il a enregistré un millier de chansons et a vendu plus de cent millions de disques et de CD depuis ses débuts. Ses royalties d'interprète et ses différents contrats lui assurent, bon an, mal an, dix millions d'euros annuels... qui sont dilapidés aussitôt.

Click here to find out more!

ex Lepoint.fr 

 

Johnny, l'incroyable histoire, de Éric Le Bourhis, Éditions Prisma. 

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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 15:47

 

 
«Dans la République que je chéris, les règles sont égales et doivent s'appliquer à l'ensemble des religions même si certaines posent plus de problèmes que d'autres»
MARINE-LE-PEN-copie-1.jpg

Dans une interview accordée au journal Le Monde ce vendredi, la présidente du FN avait fait part de sa volonté d'interdire voile et kippa. Inutile de dire que cette interview a provoqué un tollé: Marine Le Pen sait décidément comment faire pour faire parler d'elle et de son parti la veille d'un grand congrès.

 

Aujourd'hui elle s'étonne « qu'on s'étonne » explique LeFigaro.fr. La politicienne estime que ses propos sont en pleine cohérence avec sa ligne politique. «Si j'avais limité ma proposition à la religion musulmane, on m'aurait brûlée en place de Grève pour islamophobie». «Il est évident que la kippa ne pose pas de problème dans notre pays, mais notre pays a changé et cet équilibre fragile que nous avions trouvé dans l'exercice des religions a été bouleversé par une immigration massive, depuis maintenant une vingtaine d'années, qui a changé la donne», a-t-elle tenu à expliquer.

«Dans la République que je chéris, les règles sont égales et doivent s'appliquer à l'ensemble des religions même si certaines posent plus de problèmes que d'autres», a précisé Marine Le Pen. «Je demande à nos compatriotes juifs ce petit effort, ce petit sacrifice sûrement, mais qui permet une égalité entre les exigences que l'on demande aux uns et aux autres. Je suis sûre qu'une grande partie d'entre eux sont tout à fait prêts à faire ce petit sacrifice.»

Ce que veut la présidente du Front est d'élargir la loi de 2004 interdisant le port de signes ostentatoires d'appartenance à une religion dans l'école publique en l'appliquant à tous les espaces publics.

D'aucuns se demandent quelles sont les réelles volontés de madame Le Pen derrière cette sortie. Radicaliser encore un peu son parti ou réellement défendre la laïcité de l'état français. Si cette laïcité à la française n'implique pas du tout l'abolition de l'ensemble des signes religieux, cette sortie à permis à Marine Le Pen de se poser encore une fois en victime des autres partis. Jean-Marie, son père, a estimé comme le relaye LeFigaro.fr « que la proposition d'interdire le voile et la kippa dans la rue était un sujet intéressant, mais ce n'est pas le sujet essentiel de la vie politique française. Il a précisé qu'il jugeait la demande de Marine Le Pen sage et assez raisonnable

ex Lalibre

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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 03:32

Les questions d'argent surgissent et s'amplifient !    

Le testament de Michael Jackson falsifié?
(AgencePol) Cinq frères et soeurs de la star ont demandé aux exécuteurs testamentaires de démissionner. Ils les soupçonnent d'avoir modifié le testament de Michael Jackson en leur faveur
Janet, Rebbie, Tito, Randy et Jermaine Jackson sont persuadés que l'on a tenté de profiter de leur défunt frère, Michael. Et ils ont leur petite idée sur la question! Dans une lettre de près de cinq pages, que le site américain Celebuzz a pu obtenir, la fratrie s'en prend violemment à John Branca et John McClain, les exécuteurs testamentaires du chanteur décédé en 2009. Dans cette lettre, ils reprochent aux exécuteurs testamentaires d'avoir tiré avantage d'eux et affirment que les dernières volontés de leur frère Michael, telles que présentés par Branca et McClain, sont "fausses, incorrectes et frauduleuses". Ils exigent donc la démission immédiate des deux hommes et menacent de faire appel à la police pour qu'elle enquête sur une conduite potentiellement criminelle. Selon les cinq frères et soeurs de Michael, ce dernier aurait déclaré plusieurs mois avant sa mort qu'il méprisait ses exécuteurs testamentaires et qu'il ne voulait pas qu'ils aient un quelconque rapport avec sa vie ou ses biens. De plus, sur le testament présenté à la famille par Branca et McClain, la signature de la star n'apparait nulle part. Mais ce que reprochent surtout les frères et soeurs aux deux hommes, c'est d'avoir volé les trois enfants et la mère de la star en augmentant le pourcentage revenant aux exécuteurs testamentaires et d'avoir mal géré les projets prévus par le testament. Reste un mystère : pourquoi Jackie, Marlon et LaToya, les trois derniers membres de la fratrie Jackson, n'ont-ils pas signé la lettre ? (L.M. / Picture : Photo new)
ex Yahoo skynet
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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 23:06

Des fans de la star et des collectionneurs étaient réunis à cette vente


LOS ANGELES Un miroir sur lequel Michael Jackson avait inscrit un message d'auto-encouragement a été adjugé à quelque 19.000 dollars lors d'une vente aux enchères à Los Angeles du mobilier de la demeure où le "roi de la pop" est mort et qui a totalisé près d'un million de dollars. 

Des fans de la star et des collectionneurs étaient réunis à cette vente, où un banc sur lequel Michael Jackson avait dessiné des bonhommes apparemment en train de danser est parti à 4.480 dollars.

Un tonnerre d'applaudissements a retenti quand un miroir intégré à une armoire victorienne est parti à un acheteur par téléphone.

"Entraînement, perfection, mars, avril, à fond (souligné), mai", avait écrit Michael Jackson, apparemment pour se motiver dans les répétitions de son come-back prévu à Londres.

L'armoire a été adjugée à 18.750 dollars, deux fois le prix estimé par le commissaire priseur Darren Julien, qui avait présidé les enchères du ranch de Michael Jackson à Neverland en 2008.

Une ardoise sur laquelle un de ses enfants lui avait écrit un message affectueux a été vendue 5.000 dollars.

Les enchères ont totalisé près d'un million de dollars, un montant bien supérieur aux 200 à 400.000 dollars estimés, selon un communiqué diffusé à la fin de la vente samedi.DOLLAR IMAGE TTBTTB

Le mobilier et les objets provenaient de la maison où Michael Jackson est mort le 25 juin 2009.

Les objets ont été mis en vente par les propriétaires de la demeure que le chanteur louait. 

© La Dernière Heure 2011

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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 19:07

 

  

AFP

AFP

Il n’a jamais été ministre, se présentait pour la première fois à la présidentielle française, était raillé de tous: trop rond, trop apparatchik, trop provincial. Mais au terme d’une longue course et d’un sans-faute en campagne, le socialiste François Hollande a été élu président.

 

 

 

“Je suis celui que vous voyez, je n’ai pas d’artifice, je n’ai pas besoin de me travestir. Je suis ce que je suis, simple, direct, libre”, se décrit-il.

Au départ, personne n’attendait cet ancien chef du Parti socialiste pendant 11 ans et député de Corrèze, un département rural du centre de la France.

Il n’avait ni le charisme de l’ancien patron du FMI Dominique Strauss-Kahn, ni le lien charnel aux Français de son ex-compagne, Ségolène Royal, candidate en 2007. Natif de Normandie, il semblait très loin du charisme qu’exige en France l’élection présidentielle, cette onction républicaine.

Fils d’un médecin d’extrême droite

Fils d’un médecin rugueux d’extrême droite et d’une assistante sociale de gauche, il a bâti sa campagne sur une intuition: la France est fatiguée de l’énergie débordante de Nicolas Sarkozy, de son “exhibition permanente” et rêve d’une présidence “normale”.

Hollande a été avant tout l’”anti-Sarkozy”, la meilleure promesse de “dégager” le président sortant selon ses opposants qui reprennent les slogans du Printemps arabe.

La gauche avait un candidat crédible. Pas encore un vainqueur possible. Mais les mois de campagne électorale ont transformé la perception des Français de cet homme de 57 ans.

Sous le besogneux capable de parler fiscalité pendant des heures, ils ont découvert un homme plein d’humour, constant dans son programme, combatif en meeting et pugnace en débat face à Nicolas Sarkozy.

“Il a changé. C’est comme s’il était rentré dans ce costume (de président) au fil des jours”, estime sa compagne Valérie Trierweiler. “Il est tout à fait prêt à exercer cette fonction”.

Jusqu’au 14 mai 2011, le patron du FMI, Dominique Strauss-Kahn, est le favori des socialistes, des sondeurs et de la presse. Mais les déboires judiciaires de DSK ouvrent la voie à François Hollande.

Les premiers sondages le placent en tête des candidats de gauche préférés des Français. Mieux, il est en position de battre Nicolas Sarkozy.

Durant toute la campagne, ce dernier lui a reproché de se dérober, d’éviter les questions, la confrontation.

“L’homme n’est ni rusé ni cynique, il est simplement dans une posture d’évitement”, résume son biographe Serge Raffy.

“ Avec les filles, je suis plutôt dans la catégorie des médiocres ”

Evitement ? Le mot lui colle à la peau depuis sa plus tendre enfance quand, élève dans une école religieuse, il évite les punitions de ses rigoristes professeurs à coups de sourires et de bonne notes.

Après un déménagement à Neuilly, la très chic banlieue parisienne, il découvre Paris, la politique et les filles. “En amour et avec les filles, c’est comme en anglais, je suis plutôt dans la catégorie des médiocres”, dit-il.

Ni gauchiste ni anarchiste, il étudie à l’Ecole nationale d’administration (ENA), creuset des élites françaises, puis entre à la Cour des comptes. Il commence à écrire des “notes” pour le président Mitterrand, élu en 1981 et seul président socialiste jusque là de la Ve République (née en 1958).

A 26 ans, il tente le pari de se présenter aux législatives sur les terres du futur président Jacques Chirac, qu’il interpelle en réunion publique.

“Qui êtes vous, monsieur ?”, lui lance Jacques Chirac, qui dira bien plus tard l’apprécier.

“Je suis celui que vous comparez au labrador de Mitterrand”, lui répond le jeune socialiste.

Social-démocrate assumé, Européen convaincu, François Hollande grandit dans l’appareil du PS. Il espère entrer dans le gouvernement du président Mitterrand. En vain. Bis repetita en 1997 quand un socialiste, Lionel Jospin, devient Premier ministre à la faveur d’une victoire de la gauche aux législatives.

Les échecs de la gauche en 1995, 2002 et 2007 l’amènent à se décider.

A la rentrée 2009, Hollande discute avec sa nouvelle compagne Valérie Trierweiler. “Je lui ai dit: +si tu penses que tu es le meilleur, tu y vas+”, dit la journaliste politique.

“Il m’a répondu: +Je suis le meilleur+”, assure-t-elle. “C’est la première fois que je l’entendais dire cela”.

Le candidat perd plus de dix kilos, se fait tailler des costumes sur mesure, change de lunettes.

L’homme affable, qui fuit le conflit, veut s’afficher solide, “tenace”, sa principale qualité pour son ami, l’ex-ministre Michel Sapin. Il surprendra mercredi dernier, lors de son face à face télévisé avec Nicolas Sarkozy, en se montrant plus offensif qu’attendu.

Hollande est “insaisissable”, résume son fils aîné Thomas, qui y voit la marque d’un “homme libre”, un “stratège” qui veut comprendre les gens mais aussi avoir un coup d’avance.

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27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 11:08

Sans commentaires superflus, car les images parlent d'elles-mêmes. C'est l'histoire bien connue de la fois de trop qui enchaîne sur des catastrophes.


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25 juin 2013 2 25 /06 /juin /2013 15:28

 

Homme d'affaires, de politique, de télévision et de spectacle, Bernard Tapie est l'invité du magazine Capital présenté par Thomas Sotto. Au sommaire : « Bye-bye la crise, je repars de zéro ! ». Entretien exclusif.
BERNARD-TAOIE-MOUE.JPG
Inviter Bernard Tapie pour parler de la crise, est-ce une bonne idée ?
Thomas Sotto - Je pense que c'est celui qui symbolise le mieux le thème « Bye bye la crise, je repars de zéro ». Il a eu 1 900 vies en une. D'abord chanteur, puis businessman...
Bernard Tapie - Chanteur, quelle blague ! Pour un mec qui a fait des milliers de fois la une, il n'y a pas un CV ou une histoire aussi faux que les miens ! Pour payer mes études, j'étais chanteur d'orchestre l'été et on fait de moi un chanteur... Pareil pour la télé : ce que j'y ai fait n'est pas une carrière. En revanche, j'ai toujours fait tout ce qui m'amusait.

Bernard Tapie était donc le bon client ?
T.S. - J'ai pensé à lui parce qu'il a toujours su rebondir. C'est le ressort de l'émission : ces gens qui changent de vie, de métier...
B.T. - Chez moi, il n'y a eu qu'un rebond puisqu'il n'y a eu qu'une chute ! Pas une de mes activités dans les affaires, en politique ou dans le sport n'a été le fait d'une idée ou d'un rêve que j'ai eu. Tout m'a toujours été proposé.

Mais vous vous imposez toujours...
B.T. - Une fois que j'ai dit oui, je mets tout de suite la barre au top. Je suis obligé de fonctionner comme ça : en France, les cases sont tellement définies que, lorsqu'on est dans l'une d'elles, il est très difficile d'en sortir. C'est même interdit ! Rappelez-vous la bronca du milieu quand j'ai décidé de faire du théâtre. La seule façon de les faire taire, c'est de viser haut. J'ai fait ça toute ma vie.

C'est pour cette raison que vous êtes tant détesté ?
B.T. - Si on ajoute à mon ambition de réussite mon tempérament de con qui se plie difficilement aux habitudes des milieux dans lesquels il arrive, on a les deux ingrédients qui suscitent la polémique.

C'est bon pour l'audience...
B.T. - Vous ne croyez pas si bien dire. J'étais invité du 20 heures de France 2, qui fait en moyenne 6,2 millions et il paraît qu'il a atteint plus de 9 millions avec moi. Laurent Delahousse m'a dit que ça crée le buzz. C'est la même chose avec la pièce Les Montagnes russes. Je joue à outrance la caricature de ce que mes ennemis disent de moi : ceux qui ne m'aiment pas viennent me voir et ressortent ravis, convaincus qu'ils avaient raison de me détester. Et ceux qui m'aiment bien sont satisfaits.

Comment expliquez-vous ce phénomène ?
B.T. - J'ai longtemps cru que c'était la réussite, mais je me trompais. Ce qu'on n'aime pas en France, c'est l'incarnation du bonheur ! On est trimbalés entre judéo-christianisme et marxisme. Les judéo-chrétiens disent : « Tu seras heureux plus tard, pour l'instant tu es là pour en chier ». Quant aux autres, ils expliquent que « tu n'as pas le droit d'être heureux tout seul ». Or, il se trouve que, d'après un sondage, je suis l'incarnation du bonheur. (Rires.) Alors, vous imaginez...


Concernant Marseille, vous avez déclaré qu'on « avait brisé un rêve »...

B.T. - J'ai pris conscience en étant député national, européen, et ministre que l'exercice du pouvoir était formidable, mais il n'est visible instantanément qu'au niveau d'une ville. Et quelle ville ! À l'époque, un sondage montrait que 65 % des gens souhaitaient que je devienne le maire de Marseille.

Un retour en politique est-il possible ?
B.T. - Non. C'est un monde dans lequel je ne me sens pas bien du tout. Les règles du jeu y sont à la fois trop dures et souvent très injustes.

Vous avez soutenu Nicolas Sarkozy. Que pensez-vous de sa défaite ?
B.T. - Compte tenu de la manipulation des sondages depuis neuf mois, des commentaires de tous les journalistes qui n'ont cessé de décrire un rejet de l'homme et quand je vois la coalition incroyable et unique qui va de l'extrême droite à l'extrême gauche, finir à 48,5 %, c'est incroyable ! N'oublions pas que jamais un président sortant, en activité exécutive, n'a réussi à se faire réélire. Les Français sont des zappeurs.

Que pensez-vous de la victoire de François Hollande ?
B.T. - Ce n'était pas mon choix. Maintenant, mon problème, c'est l'avenir du pays. Plus il sera bon et plus je serai heureux. J'entends plein de mes copains dire qu'ils vont se casser. On n'a pas le droit de déserter ! Dans la vie, il y a les bons moments et les mauvais ; il faut les accepter. L'avenir de Hollande ne m'intéresse pas. Celui de la France et des Français, oui ! Chacun doit faire le maximum pour que ça réussisse. On ne va pas refaire l'élection...

« Travailler plus pour gagner plus », ça vous parle ?
B.T. - On ne va pas travailler plus pour gagner moins, quand même ! C'est une façon de dire qu'il faut se remuer. Tout le monde peut y arriver, mais il faut le vouloir et exploiter au mieux ses atouts, ses compétences. Il faut prendre son destin en main, arrêter de dire « je voudrais bien » et dire « je veux ».

On vous reproche d'être un opportuniste, notamment avec les affaires que vous avez reprises. Que répondez-vous ?
B.T. - Si, derrière moi, c'était un cimetière, je le comprendrais. Mais il n'en est rien. L'OM vit sur ma gloire depuis dix-sept ans. Tous ceux qui sont passés dans mon école de chômeurs ont tous un boulot. Testut, ça existe ; Wonder, Look, La Vie Claire et Terraillon aussi. Ce ne sont pas des champs de ruines. Les projets défendus dans mon émission Ambitions se sont concrétisés. Adidas gagne par trimestre la totalité de ce qu'on m'a donné en indemnités. Quand je les ai repris, ils perdaient un milliard par an !

Et si François Hollande vous appelle...
B.T. - Eh bien, j'irai lui dire bonjour. Ce ne sera pas la première fois... Mais cela ne risque pas d'arriver ! (Sourire.)

Propos recueillis par Patrick Cabannes

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